1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 6 : échanges


    Datte: 03/09/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... me traitant de « petite salope », me disant que je les avais fait bander toute l’après-midi. Ils ajoutaient que, si je n’étais pas uniquement une petite allumeuse, ils se tenaient à ma disposition pour « plus, si affinités ». Si certains insistaient sur la discrétion, d’autres étaient très directs, disant qu’ils voulaient me baiser comme je le méritais. Un seul demanda si mon mari était au courant et s’il était d’accord.
    
    Comme nous en étions convenus, c’est Philippe qui s’est chargé des contacts et de coordonner les rencontres. Tous, sauf un, même s’ils se montraient surpris d’être contactés par le mari, ont accepté nos conditions, ne voulant pas laisser passer l’occasion.
    
    Nous avons poursuivi ce jeu : à la plage, au restaurant de l’hôtel, Philippe m’encourageait à être particulièrement sexy. Ensemble, nous repérions ceux qui pouvaient devenir mes amants. Quand nous avions la certitude, aux regards et sourires échangés, qu’il y avait un partenaire potentiel, c’est Philippe qui faisait les démarches.
    
    Au départ, cela surprenait. Souvent, les hommes concernés commençaient par nier, craignant une scène de jalousie. Philippe les mettait vite à l’aise, leur disant qu’il aimait qu’on désire sa femme. Dans la quasi-totalité des cas, ça se terminait par un rendez-vous. Je dois dire que j’ai eu, au cours de ces dix jours, plus d’amants qu’au cours des 18 mois de la pandémie. Ils nous rejoignaient dans la chambre, les conditions étant que Philippe soit présent et que les ...
    ... rapports soient protégés.
    
    Des membres du personnel ont pu en bénéficier aussi, puis nous avons finis par être sollicités sans avoir besoin de faire la première approche, car notre réputation a été vite faite.
    
    Mon carnet de rendez-vous, tenu par Philippe, fut vite rempli et couvrait les après-midi, puis les soirées jusque tard dans la nuit. Seules les matinées étaient réservées au repos, à la plage, mais aussi au repérage de mes partenaires. Philippe m’a imposé un rythme soutenu, mais nous tenions que je prenne le temps pour de longs moments de plaisir. Il n’était pas question non plus que les amants se succèdent et, donc, nous laissions un délai entre deux rendez-vous. Pour résumer, ce n’était pas de l’abattage, mais c’était intensif et cela comblait tant mon hypersexualité que le candaulisme de Philippe.
    
    Il n’empêche que tous ces passages, malgré notre volonté de discrétion et celle de mes amants, ne restait pas inaperçus. Notre réputation fut vite faite. Elle fit que nous avions plus besoin de chercher de partenaires, ils venaient à nous. Il y avait le regard de désir de nombreux hommes, dont certains n’osaient pas aller plus loin par craintes des réactions de leurs compagnes. Cela me valait aussi le regard furieux de certaines femmes et j’entendais, à mon passage des commentaires faits pour être entendus. Pour beaucoup, et notamment des épouses jalouses, j’étais « I gallikí pórni » (la putain française) et Philippe « O kollitós sýzygos » (le mari cocu)
    
    Peu nous ...
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