Une assistante d'érection
Datte: 01/09/2024,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
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Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
... qui fit jouir la brune quadragénaire, baisée comme elle souhaitait l’être depuis longtemps, ayant soupé du classique devoir conjugal.
Dans le cadre du travail, elle n’en conservait pas moins sa compétence reconnue et il fallait vraiment être au courant de cette relation pour la deviner. C’était le cas de Marjorie, qui avait reçu les confidences de Marianne et l’avait encouragée dans cette voie :
— Si tu prends ton pied, ne te gêne pas, tu n’as rien à perdre, au contraire, lui avait-elle dit.
Désormais, quand l’assistante de direction se pointait au boulot en mini-jupe, talons hauts, voire bottes, top moulant ses seins pointus, le patron concluait qu’elle avait envie de baiser. Le soir, porte du bureau du patron fermée à clé, elle n’hésitait plus à se montrer entièrement nue pour le chevaucher sur un fauteuil ou à même la moquette. Le seul ennui est qu’elle ne pouvait pas crier son plaisir, de peur d’alerter les rares collaborateurs encore présents, voire le personnel de sécurité. C’est pourquoi elle invita son patron chez elle, en l’absence de son mari, pendant un week-end où sa fille était également sortie. Ils baisèrent dans la chambre d’amis devant une armoire à glace où elle put visualiser, de profil, l’activité du pénis et, de face, l’expression de leur jouissance réciproque. En particulier lorsqu’il la sodomisa, ce qui ne lui était encore jamais arrivé. Elle cria si fort qu’il éjacula dans son rectum avant d’être essoré par un roulement de hanches ...
... enthousiastes. Bref, ils étaient devenus amants.
Mais la discrétion a des raisons que la machine à café ne connaît pas. Marjorie finit par glisser une allusion à Delphine sur les rapports entre Marianne et le patron, lui demandant de « la fermer ». Ce que la rouquine ne fit évidemment pas en en parlant à Coralie, qui apprécia peu cette privauté de secrétaire. Ces commérages arrivèrent aux oreilles de Cathy, connue pour être une « langue de pute ».
Cette quinquagénaire de petite taille, bustée, fessue et frisottée, manifestait une rancœur de mal-baisée envers les frasques de ses collègues femmes. Elle se chargea de répandre la nouvelle, tant et si bien que Marianne fut désormais cataloguée comme une opportuniste à la cuisse légère, dans le meilleur des cas, et surnommée « l’assistante d’érection », ce qui était vraiment mesquin. Heureusement pour elle, elle n’était pas la seule à entrer dans la catégorie des « femmes qui baisent » au sein de la boîte et elle avait au moins l’avantage de ne pas sombrer dans l’adultère vu sa séparation en cours avec son mari. Elle n’en fut pas moins animée d’un esprit de vengeance bien légitime. Grâce à sa position centrale dans l’entreprise, elle entra en contact avec deux ou trois queutards bien connus. L’objectif était de faire en sorte de culbuter la venimeuse Cathy, mariée à un élu local, et donc de la basculer dans un adultère qui sortirait de la confidentialité.
Un dénommé Fabien accepta l’enjeu pour se faire bien voir de l’assistante et par ...