Une assistante d'érection - Histoires de Sexe

Une assistante d'érection

... bien, salope ! Et en plus, tu me lèches le trou du cul. Et tu y mets le doigt. Ouaahhh. Tu fais ça à ton mari aussi ?

Pas de réponse, mais des gémissements masculins attestant de l’efficacité de l’anulingus. Marianne était sidérée d’entendre ça. Et encore davantage lorsqu’elle entendit la voix de Cathy, très rauque :

— Baise-moi maintenant, comme la salope que je suis.

Marianne entendit le choc des peaux, lefloc floc des sexes joints, les couinements de plaisir de la frisée ponctués de « encore, encore, vas-y plus fort ». Elle devina les changements de position à un « prends-moi les seins » de la cavalière, puis un « prends-moi par-derrière », signes que c’était elle qui menait la danse. Le couple adultère ne se contentait pas de baiser. Il parlait et les échanges valaient leur pesant de stupre dans le téléphone de Marianne :

— J’aurais jamais cru que tu baises aussi bien, je te croyais frustrée, disait Fabien.
— Ha ha ha. Je sais ce qu’on dit, que je suis une mal-baisée. Ce sont des pouffes comme Delphine ou Marjorie qui répandent ce bruit. Elles ne connaissent rien de ma vie privée. Oui, continue comme ça, c’est bon, mmmmhhh.
— Tu… fais tout ça avec ton mari ?
— Mon mari n’aime pas trop le sexe, en tout cas, pas autant que moi. Mais il me laisse vivre ma vie. Prends-moi les pieds, écarte-les, oui, comme ça. Ne me ménage pas, secoue-moi, oui, ouiiii.
— Donc, tu le trompes ? Et il est d’accord ? Putain que j’aime voir tes gros nichons remuer…
— Il s’en ...

... fout pourvu que je reste avec lui. Ahhh, elle est bonne ta grosse bite !
— Retourne-toi maintenant. Tu as vraiment un beau cul. Je vais t’enculer.
— Non, pas ça ! Ta bite est trop grosse !
— Mais si, mais si. Tu vas voir, ça va bien se passer.

Un certain tumulte s’ensuivit, des gémissements, des râles, des peaux qui claquent et enfin un « ah oui, c’est bon, encore, t’arrête pas » de Cathy signifiant qu’elle était glorieusement sodomisée. Marianne regarda sa montre. Cela faisait maintenant plus d’une demi-heure que le couple baisait. Sa culotte était trempée et si elle n’avait pas été dans la rue, elle se serait masturbée. Puis elle entendit un grognement mâle et un cri de jouissance féminine. Fabien avait visiblement éjaculé dans le cul de Cathy. Le silence se fit bien que Marianne ait cru deviner que la collègue s’était ruée aux toilettes. Elle l’entendit ensuite remercier son baiseur, ce qui ferait très bien dans l’enregistrement. Puis elle les vit sortir séparément, omettant toutefois de filmer Fabien pour se concentrer sur Cathy, légèrement échevelée. Et elle rentra au bureau, tourneboulée par ce qu’elle avait entendu. Une urgente envie de baiser la prit, mais le patron n’était pas disponible avant le soir. Elle glissa discrètement une main dans sa culotte sur son fauteuil et se branla le clito quelques minutes, priant pour que personne n’entre dans son bureau. Un orgasme manuel la fouetta et elle eut un peu de mal à reprendre ses esprits.

Que faire maintenant ? ...