1. Une assistante d'érection


    Datte: 01/09/2024, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail grossexe, grosseins, hotel, telnet, vengeance, Oral fsodo, hdanus, coprolalie, Humour extraconj, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Quand Marianne fut promue assistante de direction du patron, beaucoup d’employés pensèrent à une « promotion canapé ». Le patron était en effet réputé pour séduire les femmes de son entreprise, du moins celles qui voulaient bien céder à ses avances. Marjorie était de celles-là, qui s’étaient fait culbuter un soir sur le bureau directorial pour un « coup vite fait », du reste sans lendemain et répondant à une urgence sexuelle de part et d’autre.
    
    En revanche, n’en déplaise aux ragots, Marianne avait été choisie pour ses qualités professionnelles. Âgée de quarante-huit ans, elle n’était pas ce qu’on peut appeler un « canon », même si son physique de brune au corps mince n’avait rien de repoussant. Grosse bosseuse, elle n’hésitait pas à rester parfois tard le soir pour faire avancer des dossiers en compagnie du patron. C’est dans ces circonstances qu’une intimité était peu à peu entrée dans cette collaboration, d’autant que Marianne était en instance de divorce, son mari n’ayant pas accepté qu’elle consacre toute sa vie au boulot.
    
    Aussi, un soir, quand le patron au moment de la quitter l’enlaça et l’embrassa sur la bouche, Marianne, en mal d’effusions, ne résista pas. Et quand, dans le même mouvement, le patron déboutonna son pantalon pour exhiber son pénis bien érigé, elle s’accroupit et l’emboucha avec volupté jusqu’à ce qu’il éjacule dans sa bouche. Elle avala son sperme sans sourciller, montrant en ces circonstances qu’elle n’avait ...
    ... rien à envier à toutes celles qui l’avaient précédée, à commencer par son amie Marjorie. Une discussion avait eu lieu un jour entre elles pour savoir s’il fallait « avaler ». Elles s’étaient convenues qu’une pipe réussie passait automatiquement par là. Mais ça faisait un bail que Marianne n’avait pas englouti de sperme. C’était désormais chose faite.
    
    Bien entendu, un pli était pris. Lorsque la journée avait été dure, le patron lui présentait systématiquement sa queue à sucer, histoire de se détendre, et Marianne ne se faisait pas prier. Elle se révéla très bonne suceuse ce qui, selon certains observateurs, est un atout majeur chez une assistante de direction.
    
    Arriva néanmoins un moment où l’un et l’autre en voulurent davantage. Un jour, Marianne se présenta non pas en jean et pull, comme à l’accoutumée, mais en mini-jupe, révélant une paire de jambes fines et nerveuses au-dessus d’escarpins pointus. Le patron considéra qu’elle manifestait clairement l’envie d’être baisée, ce qui était effectivement le cas. Il n’eut pas besoin de forcer son talent, une fois que la plupart des collaborateurs étaient rentrés chez eux. Il coinça Marianne contre son bureau, l’y jucha, la débarrassa prestement de son slip, mit quelques coups de langue sur sa chatte offerte et l’enfila recta, pantalon aux chevilles tandis que, mini-jupe troussée jusqu’au nombril, elle l’entourait de ses jambes fines et nerveuses après avoir fait valser ses escarpins. Ce fut un coït fougueux, bref, à la hussarde, ...
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