1. Psyché


    Datte: 31/08/2024, Catégories: fh, hh, couple, couplus, candaul, voisins, fsoumise, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Masturbation intermast, Oral pénétratio, hsodo, fouetfesse, confession, bisex, Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe

    ... s’avance et m’embrasse. Un baiser puissant, ses lèvres qui écrasent les miennes, une langue qui repousse la mienne, qui prend possession de mon palais. Et puis, petit à petit, il relâche sa contrainte, le baiser est moins invasif, il me laisse plus de place. Un baiser entre mecs, un baiser particulier où je peux mieux m’exprimer. Je peux aussi me saisir de ce zip qui m’attirait depuis son entrée, ce zip qui court sur toute la hauteur de la salopette.
    
    Depuis que je le connais, j’ai toujours repoussé au plus profond de moi toute pensée qui me mettait face à lui. Avec Rachel, depuis notre retour en France pour un nouveau départ et une vie plus apaisée, nous avions une sorte d’accord non dit. Nous retrouver loin du tumulte, autant pour une vie à deux que pour une sexualité plus « familiale ». Il faut avoir vécu dans une salle detradeurs pour comprendre. Une tension palpable, le cœur qui bat même pour les plus aguerris, la boule au ventre tant que les positions ne sont pas dénouées, des horaires décalés et de dingue. Alors si on ne voulait pas tomber dans l’alcool ou la drogue, il restait le sexe. Rien de mieux qu’une baise, même rapide, même inconfortable dans les toilettes ou dans la salle de repos.
    
    Je savais que pour Rachel, c’était pareil. Un soir, j’ai trouvé, sans fouiller, dans son sac, des préservatifs et même un sex-toy vibrant. Par curiosité, j’ai regardé chaque jour, et constaté que la boîte se vidait régulièrement. Elle faisait comme moi, sauf que moi, ...
    ... c’était avec des mecs. Comment lui en vouloir ? C’était purement physique, une sorte de pause salutaire… parfois, dans mon cas, deux pauses par jour. Des baises qui permettaient de tenir le coup.
    
    Moi, c’est par hasard que j’avais commencé avec un gars. Je l’ai surpris en train de se branler, le sexe caché par son bureau et ses écrans. On était de « garde de nuit ». Je n’ai rien dit, mais lorsque je suis allé aux toilettes, il m’a suivi. Il m’a demandé de n’en parler à personne et a entrepris d’extraire mon sexe pour aussitôt le prendre en bouche. Il suçait bien et son petit trou, s’il était étroit, m’a fait découvrir que chez les hommes aussi c’était un chemin bien agréable. De fil en aiguille, mec après mec, moi aussi j’ai découvert que de se faire défoncer le cul pouvait donner un plaisir étonnant.
    
    Le zip est du type sans fin, qui commence au niveau du cou et finit vers le mollet. Il est nu dessous, enfin juste un slip confortable. Un slip que je fais glisser aussi. Il est nu devant moi. Je l’avais déjà vu en short, le torse luisant de sueur, beau comme un Dieu descendu de l’Olympe. On dit que si le sexe des hommes est idéalisé chez les « antiques » et donc plutôt petit, José alors, sort des canons de cette beauté codifiée. Son sexe à lui est une longue tige qui pend, et si la taille faisait « tache » sur une statue, elle aurait fait le bonheur de ceux et celles qui l’approchaient. Les vidéos n’en cachaient rien de la vérité, mais de près, cette vérité prend une autre ...
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