SERAPHIN...PAS SI ANGE QUE CA
Datte: 29/08/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Claudy2316, Source: Hds
... m’enfila sans l’aide de ses mains. Son pieu dilatait et touchait le fond de mon vagin, j’avais l’impression d’être empalée et j’étais obligée de le repousser un peu pour calmer ses ardeurs. J’attendais l’éjaculation avec une certaine impatience car la violence de l’accouplement ne me permettait pas de me concentrer pour prendre mon pied. Il sortit et, très crument me demanda- « Met toi à genoux salope !
Quand il m’écarta les fesses, je crains un instant qu’il essaie de m’enculer, mais non, j’étais chanceuse, il réintroduit sa grosse queue et commença à me ramoner plus calmement. J’en profitais pour passer ma main entre les cuisses et, la tête dans l’oreiller, je me masturbais. Quand son foutre m’inonda, j’accélérais. L’orgasme éclata presque aussitôt. Le spasme fit sortir sa bite. Il mit sa main sur ma bouche, pour m’empêcher de crier trop fort et je roulais épuisée sur le côté.
Quand j’eu repris mes esprits, je rassemblais rapidement mes habits, pour retourner le plus vite possible dans ma chambre prendre une douche. J’avais à peine refermé la porte de la chambre de Claude, que l’ascenseur s’arrêtait à l’étage et que mon Séraphin, un peu allumé et titubant en sortait. Il ne me fit aucune réflexion mais à son regard noir, je sentis bien sa colère et sa jalousie.
Le lendemain, au petit-déjeuner, il m’adressa une seule fois, discrètement, la parole :-« je vois que tu préfères les chefs.
Toute la journée, le soir, il fut d’un mutisme absolu, malgré mes quelques ...
... tentatives pour le dérider Le retour fut aussi maussade, a-t-elle point que notre chef, s’inquiéta et lui demanda s’il n’était pas malade.
La vie dans l’entreprise, reprit son cour habituel, avec les réunions de travail, la pause-café, les petits arrosages. Dans les premiers temps, Séraphin me fuyait, mais peu à peu, nous reprîmes notre complicité habituelle. Plusieurs fois, il fit allusion à mon aventure parisienne et je sentis bien qu’il en était jaloux. Je réussis peu à peu à lui faire entendre raison, en mettant cela sur le compte de l’abus d’alcool, du hasard, d’un moment d’égarement. Nos relations redevenues normales, nos discussions, lorsque les circonstances nous isolaient, tournaient souvent aux plaisanteries un peu graveleuses. Il me confiait sa gêne de ses éjaculations précoces, je lui confiais mes petits secrets, mes fantasmes : baiser dans mon bureau, sur un parking, avec deux hommes,…..tout cela dans une franche rigolade et une grande confiance.
Six mois s’écoulèrent, quand un vendredi matin, il m’invita à nouveau à venir prendre le thé vers 16 heures. Je compris bien le sens de cette réconciliation et frémit d’excitation. C’était l’été, les tenues offriraient des facilités par rapport aux vêtements d’hiver et éviterait sans doute une éjaculation pendant le déshabillage. J’arrivais donc à l’heure dite avec des frissons dans le bas du ventre, en imaginant ce qui allait se passer. Je sonnais, il ouvrit immédiatement et me précéda dans le salon, où, surprise, ...