1. SERAPHIN...PAS SI ANGE QUE CA


    Datte: 29/08/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Claudy2316, Source: Hds

    ... Accélère fait moi jouir !!
    
    Je le sentis , se crisper , sa bite s’enfonça au fond de moi et soudain il donna trois ou quatre coups de reins . Je sentis son sperme chaud inonder mon vagin, je n’en revenais pas d’une t’elle réserve de foutre. J’en profitais pour me titiller le clitoris et aussitôt les contractions et le plaisir m’envahirent, me laissant échapper quelques petits cris, à son grand plaisir.
    
    L’après-midi était bien avancé, je fonçais vers la salle de bains et après avoir remballé porte jaretelles et bas, je regagnais mon domicile.
    
    Cette aventure aurait pu en rester là, si l’opportunité d’un stage à Paris, ne lui avait donné une deuxième chance. Le hasard d’une formation professionnelle, nous avait conduits, accompagnés de notre supérieur, Claude, dans les salons d’un hôtel parisien. Le séminaire, devant durer deux jours, l’entreprise avait fait des réservations en conséquence. Nous logions au 3ème étage, dans des chambres, donnant dans le même couloir. Après une harassante journée de travail, nous nous retrouvâmes à la même table que des collègues du pays basque, pour le dîner. A la fin du repas, beaucoup se dirigèrent vers le bar, pour discuter autour d’un digestif. Fatiguée et goûtant peu aux alcools forts, j’annonçais à la cantonade que j’allais dans ma chambre me coucher. A ma grande surprise, Mon chef émis les mêmes réserves et quitta la soirée. Cela me surprit, car, dragueur reconnu, j’imaginais que les alentours du bar et ses discrets salons ...
    ... attenants seraient le terrain de chasse idéal.
    
    Arrivés dans l’ascenseur, je compris que je m’étais tout simplement trompée quant au gibier choisit . Nous n’avions pas atteint le 1er étage, qu’il me coinçait contre la paroi pour m’embrasser. Quand la sonnerie du 3ème arriva, il avait déjà glissé sa jambe entre les miennes, et alors qu’il me pétrissait les seins, je sentais nettement son envie sans qu’il eut besoin de parler. Sans un mot, il se dirigea vers sa chambre et échevelée et rouge, je le suivis.
    
    A peine la porte refermée, les habits, volèrent dans tous les sens sans aide de l’un ou l’autre. Ses gestes précis, témoignaient d’une longue pratique du dégraffage de soutien-gorge d’une main et du baissé de culotte de l’autre. La dite culotte, n’était pas encore sur mes chevilles qu’il avait déjà sorti sa bite. Ses premiers gestes m’avaient montrés qu’il était d’une autre trempe que Séraphin, la taille de sa queue venait confirmer cette impression. On était là dans le domaine du professionnel.
    
    Il m’allongea sur le lit et après un -« laisse-toi faire, impératifIl s’allongea sur moi dans un classique 69 et commença à me brouter furieusement la chatte. De mon côté, je n’avais d’autre choix que d’avaler sa bite, même si la taille rendait l’opération difficile voire dangereuse. Je me contentais donc de le branler pendant qu’il continuait de me lubrifier la moule à grand coup de langue et de salive. Il me retourna, écartant puis levant mes jambes et grâce à sa longue pratique, ...
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