1. SERAPHIN...PAS SI ANGE QUE CA


    Datte: 29/08/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Claudy2316, Source: Hds

    SERAPHIN…Pas si Ange que ça !
    
    (Elle)
    
    J’ai connu Séraphin, que j’appelais Séraph, dans le cadre du travail. Il n’appartenait pas au service que je dirigeais, mais de nombreuses réunions de travail, me permettait de le croiser assez souvent. Il n’avait pas de grosses responsabilités au sein de l’entreprise, mais sa présence était souhaitée pour des apports techniques particuliers qu’il maîtrisait parfaitement.
    
    Il possédait à fond son sujet et s’exprimait avec brio quand il avait la parole. Par contre, en ma présence il était complètement tétanisé, bredouillait, bafouillait. Il souffrait vraiment d’une sorte de complexe d’infériorité Pourtant durant les réunions, je sentais que j’étais loin de lui être indifférente. Nos regards se croisaient souvent avec de petits clins d’œil complices. Etait-ce ma condition de « Cheffe » qui l’impressionnait ou une timidité maladive ? Je le trouvais sexy et sa jeunesse, (dix ans de moins que moi), me flattaient. Je dois avouer également que son type basané, un peu macho (il était d’origine Portugaise), m’attirait.
    
    J’avais envisagé ainsi une aventure éphémère et décidé de faire les premiers pas. Je n’en eu pas besoin !!!
    
    L’un et l’autre, ne travaillant pas le vendredi après-midi, le jeudi précèdent, jour de réunion habituel, il se décida et m’invita à prendre un thé (ou un café, bredouilla t’il) le lendemain.
    
    Je comptais bien profiter de cette invitation pour un bon moment de plaisir. Craignant qu’en tête à tête, sa timidité ...
    ... maladive, ne prenne le dessus, j’avais décidé de « mettre le paquet ».
    
    Quand mon mari fut parti, emmenant mes filles à l’école, je me préparais. Dans ce genre de situation, on sait très bien ce que l’on attend de l’autre et il s’agit d’être efficace, de provoquer et de bien faire comprendre pourquoi on est là. J’optais donc pour une « Tenue de pute » : soutien-gorge balconnet, chemisier en soie transparent, jupe noire serrée, string rouge très minimaliste, bas noirs, porte-jarretelles. J’avais hésité sur les chaussures mais opté pour du classique, plutôt que des hauts talons (je travaillais le matin et mes collègues, se seraient posés des questions devant une tenue si différente de mes habitudes). Les talons resteraient dans la voiture et je les prendrais avant de le rejoindre. Je passais une matinée assez désagréable, le string me rentrant désagréablement dans la raie des fesses, et surtout, j’étais dans la hantise de voit un bas se détacher de la jarretelle.
    
    A 12h30, je garais ma Golf, sur le parking de la résidence où il logeait. Il n’avait pas travaillé du matin et avait apparemment fait un ménage rigoureux et surtout « parfumé » l’appartement, avec une substance douteuse, plutôt désagréable, aux fortes effluves musquées. Bonne poire, je ne voulus pas le troubler et ne lui en fit pas la remarque.
    
    Je m’assis dans un canapé, un peu fatigué, pendant qu’il préparait le thé. Le double effet de la jupe serrée et du sofa écrasé, me découvrait largement les cuisses. Sans ...
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