Sans filtre
Datte: 24/08/2024,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
hgode,
jeu,
aliments,
lavement,
rencontre,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... ou à un autre, il me semble d’ailleurs l’entendre exiger quelque chose comme « tout, tout de suite et à donf, s’il te plaît ! ».
Après ? Eh bien, disons qu’elle me baise. Savamment, longuement, méticuleusement. Elle ne laisse plus entre nous une ombre de ce romantisme dans lequel je me complais trop souvent avec mes conquêtes. Nous lançons nos corps à l’assaut l’un de l’autre, pour qu’ils se gavent du désir le plus brut, des plus animales pulsions, et nous permettent d’en jouir d’une incomparable manière.
Plus rien d’autre n’a d’importance que ce que ma queue me dicte de lui faire subir. Je n’ai plus d’autre boussole que ce cul qu’elle me tend en suppliant de la remplir jusqu’à la garde. Le besoin de jouir suinte par tous nos pores, par tous nos orifices, avec ce que cela implique d’exhalaisons en tous genres.
Moi, qui me croyais si fragile de la muqueuse nasale, je me découvre friand du parfum grisant de son corps excité. Comme si la nicotine qui sature ses émonctoires pénétrait en moi de la plus insidieuse manière. Comme si les miasmes instillés en moi prenaient le pouvoir sur ma volonté et sur ma virilité.
Je mets alors à bander formidablement. Mon sang pulse dans ma queue et la gonfle au-delà du raisonnable. De grosses gouttes de sueur coulent sur mon torse et sous mes bras. Elle les lèche avec application, sans pour autant cesser de m’exciter par de surprenantes secousses du bassin. Comme un étalon fou de désir pour sa jument, soumis à la violence de son ...
... instinct copulatoire, je pousse mon bas-ventre à la conquête de sa féminité.
Trouvant entre ses fesses de quoi apaiser mes tensions génitales, je la transperce de voluptueux coup de reins. Par sa manière de m’accompagner, de s’offrir, elle me fait abandonner tout reste de civilité. Seule la quête du plaisir compte dès ce moment. Plaisir de posséder, de fouiller, de perforer ses chairs, puis de me vider longuement, en accompagnant chaque saccade de ces bruyants grognements qui caractérisent l’instant suprême du rut.
Sans cesser de m’activer en elle, jouissant soudain d’une lucidité inattendue, je contemple les plus infimes détails de ce que je pénètre, de ce que je triture, de ce que je fais couler, gicler. Toutes ces formidables manifestations de vie génitale dont elle me rend irrémédiablement coupable.
Longuement, nous nous battons, les chairs frémissantes, épanouies, béantes, embellies par l’intense désir, impatientes de jouissances toujours plus inattendues, à cette limite de la souffrance que seules les plus folles pulsions permettent de supporter.
Lorsque je faiblis, elle me reprend en main et m’apprend de nouvelles manières de la mater. Jamais elle ne tente de se soustraire à mes regards de voyeur. Bien au contraire, elle accepte mon souffle rauque, mes mains tendues vers ses plis, vers ses fentes, vers ses bourrelets, qui, par la grâce de mon envie, se transforment en autant de promesses de félicité. Elle reçoit tous ces signes de mon excitation comme autant ...