1. Le voyant rouge sur le tableau de bord


    Datte: 20/08/2024, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail Oral préservati, pénétratio, fsodo, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... charisme, mon mari m’a frustrée et j’en passe. C’est quand même avec un certain étonnement que je m’entends dire :
    
    — Si je dis « non », c’est « non », OK ?
    — OK, ça me semble parfaitement logique et réglo. Au pire, si vous vous sentez menacée, il suffit de crier un bon coup !
    — Malgré le volet qui est fermé ?
    — La porte arrière ne l’est pas…
    
    Je tergiverse encore un peu, puis je dis d’une petite voix :
    
    — Hmmm, pourquoi pas…
    
    Se penchant un peu vers moi, le garagiste affiche un large sourire :
    
    — Vous permettez, chère Madame ?
    — Noémie…
    — Très joli prénom…
    — Merci…
    
    Avec soin, le garagiste retire mon imperméable qu’il dépose sur le siège arrière. Puis il capture ma taille dans ses bras, me rapprochant de lui, plongeant son nez dans mon décolleté. En voilà un qui ne perd pas trop de temps !
    
    — Hou ! Ils sont tout doux, vos nénés !
    — Justement, ne les brutalisez pas…
    — Non, non : juste les dévorer !
    
    Il commence à les lécher, les bisouter, les mordiller délicatement. Ce petit coquin sait bien s’y prendre, je sens une douce chaleur monter en moi. Excitée, par-dessus la salopette, pour vérifier quelque chose, je pose ma main sur la braguette du garagiste pour constater illico que son engin est déjà bien raide et plutôt gros. Voilà un homme bien outillé ! Tandis qu’il pelote mes seins, il macule mon décolleté de plein de petits baisers de plus en plus brûlants. Bonne pioche…
    
    Une de ses mains s’égare plus bas, caressant ma cuisse, tandis que je flatte ...
    ... toujours le mandrin par-dessus le tissu. Son excitation augmente d’un sérieux crantage, quand il se rend compte que je n’ai rien sous ma robe, exception faite de mes bas. Le contact avec ma chatte toute lisse attise sérieusement son ardeur :
    
    — Hoho ! Madame serait-elle si chaude que, même en hiver, elle en oublie sa culotte ?
    — Disons que j’aime ma liberté… et nous sommes toujours en automne…
    — Pas faux… Puis-je me permettre de dire que Madame a tout d’une belle cochonne ?
    
    Tandis qu’il lève un peu le nez de mon décolleté, je lui souris :
    
    — Oh, parfois c’est même pire que ça… Je rappelle que mon prénom est Noémie.
    — Je sais, c’est toujours un joli prénom, mais Madame, c’est bien aussi… Au fait, moi, c’est Roland.
    — Moi, je préfère Roland à Monsieur… c’est plus… euh… prolétaire !
    — Prolétaire un jour, prolétaire toujours !
    
    De plus en plus excité, il continue à s’occuper efficacement de mes seins aux tétons dressés et de l’orée de ma fente qui mouille de plus en plus :
    
    — Madame aime s’encanailler ?
    — Hmm, je ne déteste pas…
    
    À ces mots, le garagiste s’emploie à ôter petit à petit sa salopette sans cesser de s’occuper de moi. Très vite, mis à part un T-shirt et ses chaussettes, il est nu, son sexe fièrement dressé devant moi. Je me fais un plaisir de le saisir à pleine main, sa verge est à la fois dure et douce, agréablement chaude dans ma paume. Je le branle quelques instants, il apprécie beaucoup, ses baisers sont de plus en plus voraces. Puis il murmure ...
«1...345...9»