Le voyant rouge sur le tableau de bord - Histoires de Sexe

Le voyant rouge sur le tableau de bord

... :

— J’adorerais vous faire une révision complète, la totale… à titre gracieux, bien entendu…
— Dans ce cas, ça serait peut-être bien d’utiliser un préservatif…
— Pas de souci, ma petite dame, j’ai ce qu’il faut dans la poche de ma salopette !
— Faut pas demander !
— Eh oui, beaucoup de femmes de bonne condition aiment bien s’offrir des petits en-cas avec un rude prolétaire…

En effet, Roland sort un préservatif d’une des poches de sa salopette qui gît au sol. En un rien de temps, il s’en chapote, puis ceci fait, il me capture dans ses bras. Sans effort, il me soulève comme une poupée pour m’allonger sur le capot resté chaud de la voiture.

— Nous serons mieux ainsi, chère Madame !
— Euh… le capot ne risque rien ?
— Sur ce genre de modèle, c’est du solide, rien à craindre !

Impérieusement, le mécano écarte mes cuisses, puis sans ménagement ni préliminaires, il enfonce sa tige de chair dans ma fente déjà mouillée. Investie à la hussarde, je me laisse aller. Même si ce n’est pas coutumier pour moi, je ne déteste pas me faire baiser de la sorte, mes fesses et mon dos au chaud, même si ça manque singulièrement de romantisme.

Je le lui fais remarquer :

— Vous allez à l’essentiel…
— Pour bien faire une bonne révision, il convient d’aborder directement ce qu’il y a à faire. Et je sens que ça va être une très bonne révision !

Après de longs pistonnages durant lesquels le garagiste me fait sentir qu’il sait agréablement se servir de son pilon privé, il ...

... penche vers le mien son visage illuminé par le désir pour me dire dans un souffle roque rempli de convoitises :

— Rhaa ! Toi, t’es trop bonne ! J’ai trop envie de te défoncer le cul ! Pardon, d’approfondir cette révision gratuite !
— Oh ! Quel vocabulaire !
— Madame a voulu du prolétaire ? Elle va en avoir !

Sa phrase à peine terminée, sans attendre la moindre réponse, il me bascule en arrière, me tirant vers lui, remontant mes gambettes afin de dégager mon cul qu’il caresse aussitôt avec son doigt. Je proteste mollement :

— En voilà des manières !
— Taratata ! Je sais très bien que les dames comme toi aiment qu’on les bouscule un peu…
— Il y a l’art et la manière…
— Justement, la manière, c’est de bousculer !

Il cueille de la cyprine à l’orée de la ma fente, il en badigeonne la cuvette de mon anus et aussi son gland écarlate, puis posément, il dirige son mandrin vers mon entrée interdite. Je re-proteste :

— Et si je ne voulais pas ?
— En général, les bourgeoises mariées refusent leur petit trou à leur mari, mais comme ce sont très souvent des grosses cochonnes, elles adorent que les prolétaires les dépucellent de là !
— C’est pas un peu cliché ?

Tandis qu’il se positionne au mieux, il me répond avec un grand sourire carnassier :

— Pas du tout ! C’est un grand classique ! Je parle par expérience !
— Vous vous gargarisez !
— Dans peu de temps, c’est plutôt toi qui vas pousser des vocalises !

Je ne suis pas précisément pucelle de là, mais Roland n’a ...