1. Une prison de coton


    Datte: 17/08/2024, Catégories: fh, fplusag, gymnastiqu, voiture, humilié(e), contrainte, Oral pénétratio, uro, occasion, Auteur: Antilope, Source: Revebebe

    ... croiser dans cette situation-là.
    
    — Salut ! je crois que j’ai quelque chose dont tu as besoin !
    — … heu… salut… heu… moi aussi. Enfin non, je veux dire… c’est parce que j’avais envie de pisser, je pouvais plus attendre, et avec cette fichue tenue je suis obligé de tout enlever… et… enfin, tu vois quoi…
    — Ahah ! Oui, en effet, je vois tout ! D’ailleurs, tu es très belle comme ça, bien plus que quand tu es saucissonnée dans tous tes trucs !
    
    Là, je me suis cachée. Une main devant la chatte(il en aurait fallu deux !), et une main devant les seins(il en aurait fallu deux… sur chaque sein !)
    
    — Heu… Merci… tu as retrouvé ma robe ?
    — Oui, elle était tout là-bas dans les herbes.
    — Oui… il fallait vraiment que… enfin, j’avais vraiment très envie de pisser… et j’étais coincée dans toutes ces fringues… et du coup je me suis énervée et… heu… je… peux récupérer ma robe ?
    — Déjà ? Quel dommage ! tu es tellement belle ! je ne sais pas si j’ai envie de te la rendre…
    
    Je mourrais d’envie qu’il me prenne sur le capot de la voiture, là tout de suite, c’était une des choses que je m’étais promis de faire avant de mourir et c’était l’occasion de rayer une ligne sur ma liste. Le problème, c’est que j’avais le bas du corps littéralement couvert de pisse.
    
    — Malheureusement… j’aimerais bien… mais je dois t’avouer ...
    ... que tout à l’heure je n’ai pas réussi à me déshabiller à temps et… je me suis pissé dessus et j’en ai partout
    — Je sais ! Tu brilles à la lumière de la Lune comme une sirène qui sort de l’eau ! Et je m’en fiche ! J’adore ça ! Ça ne m’empêchera même pas de te bouffer !
    
    J’ai avancé vers lui en retirant mes mains, je me suis collée dos au capot de sa voiture. J’ai monté mes fesses dessus et j’ai écarté les jambes.
    
    Il a commencé par s’accroupir et par fourrer son visage tout entier dans ma chatte. Il m’a d’abord dit que j’avais un goût délicieux, puis m’a fait jouir avec sa langue. Il s’est ensuite redressé, s’est déshabillé et m’a prise sur le capot. Nous avons baisé comme des bêtes au milieu des grillons, au rythme des grincements des amortisseurs de sa voiture de collection, qui devait être aussi vieille que moi. Ça devait être pour ça qu’elle était si accueillante pour mes fesses !
    
    Nous avons décidé d’aller chez lui. Il habitait dans une petite maison de campagne et nous avons convenu que je le suivrais en voiture. Comme j’étais toujours trempée et que je ne voulais pas salir mon siège, j’ai utilisé ma robe pour le protéger.
    
    Je me suis donc installée au volant de ma voiture, à poil, et nous avons conduit jusque chez lui où m’attendait une nuit d’Amour inoubliable… mais surtout une bonne douche ! 
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