Une prison de coton
Datte: 17/08/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
gymnastiqu,
voiture,
humilié(e),
contrainte,
Oral
pénétratio,
uro,
occasion,
Auteur: Antilope, Source: Revebebe
... ma pauvre chérie !
Sans voir le danger, je l’ai laissé faire le nœud derrière mon cou. Évidemment, elle a serré, fort, et a fait plusieurs boucles ! Ça a duré longtemps.
— Voilà, ma chérie ! comme ça, ça ne risque pas de se défaire de nouveau… hi hi hi…
Sur le coup, je n’ai pas compris qu’elle venait de me condamner à la réclusion à perpétuité dans ma tenue de danse, je pensais encore pouvoir demander à une autre de défaire le nœud au moment de se changer dans le vestiaire… J’avais tort.
En attendant, il fallait se retenir et danser. C’était d’autant plus difficile que ma tenue m’appuyait sur la vessie. La moindre secousse était une torture.
Alors que je dansais enfin avec l’objet de mes désirs les plus fous, et que je luttais pour ne pas trahir la détresse de ma vessie et rester digne, Solène m’a fait une crasse… Elle est arrivée derrière moi et m’a chatouillée en bas du ventre. Elle savait, je ne sais comment, que j’avais une terrible envie de pisser et a frappé juste au bon endroit.
L’instant d’après, j’étais en train de m’afficher devant mon danseur, pliée en deux, la main entre les cuisses, les jambes croisées, la figure grimaçante, luttant pour ne pas me pisser dessus.
Solène s’est alors approchée de mon oreille et m’a susurré :
— Bonne chance, Aline ! avant que tu n’arrives… en retard comme d’habitude… la prof nous a dit que les vestiaires resteraient fermés ce soir… et donc les toilettes et les douches aussi ! je serais curieuse de voir ...
... comment tu vas t’en sortir… !
Là, j’ai commencé à paniquer. Si elle disait vrai, je n’aurais aucun endroit pour me changer et j’allais devoir rentrer chez moi dans cette tenue. Aucune chance que je tienne durant toute la route du retour comme ça.
Je commençais à réaliser à quel point j’étais enfermée dans ma tenue. Si je n’arrivais pas à défaire le nœud, je n’arriverais pas à retirer mon justaucorps, ni à descendre mon collant, ni à enlever ma culotte. Il m’était donc impossible de faire pipi.
À la fin du cours, j’étais dans un état désespéré.
Comme prévu, la prof a crié :
— Je vous rappelle que le gardien a dû partir plus tôt ce soir et qu’il a fermé en partant les vestiaires. Donc je vous demanderai de partir directement sans vous changer ! Vous prendrez votre douche chez vous ! Merci ! à la semaine prochaine !
En un rien de temps, je me suis retrouvée dehors, et tout le monde a commencé à partir en voiture. Mon beau danseur, lui, était encore là et discutait avec deux autres mecs au bout du parking.
Tout à coup, je les ai vus se tourner, et pisser un coup tous les trois côte à côte. Même s’ils nous tournaient le dos, on entendait le bruit et on voyait leurs jets. C’était une vraie torture, car ça me donnait encore plus envie. À cet instant, je rêvais d’être un mec et de pouvoir pisser n’importe où facilement et discrètement. Un peu plus loin, ce sont deux danseuses que j’ai vues ressortir du bois en se rhabillant. Elles venaient, elles aussi, de se soulager, ...