1. Une prison de coton


    Datte: 17/08/2024, Catégories: fh, fplusag, gymnastiqu, voiture, humilié(e), contrainte, Oral pénétratio, uro, occasion, Auteur: Antilope, Source: Revebebe

    ... car il leur suffisait de descendre leur legging et leur culotte.
    
    Moi, bien sûr, je ne pouvais pas ! tout était verrouillé, bouclé, enfermé…
    
    Je me suis dirigée comme un robot vers ma voiture. J’étais comme une condamnée qui va vers l’échafaud et qui sait qu’elle n’en réchappera pas… J’allais forcément me pisser dessus dans le quart d’heure si je ne trouvais pas une solution pour m’extraire de ce sarcophage, de cette prison de coton.
    
    Alors je me suis assise au volant, et j’ai tenté de défaire ce nœud. Mais il n’y avait rien à faire. Cette salope avait serré à mort et je n’avais pas d’ongle. Elle avait bien calculé son coup !
    
    Il ne me restait que cinq minutes avant de tout lâcher, à peine plus, alors j’ai conduit quelques centaines de mètres en tenant mon entrejambe d’une main, puis je me suis garée sur le bas-côté, je suis sortie de la voiture en me tortillant et je me suis enfoncée dans la forêt sans savoir pourquoi.
    
    Tout en marchant, les jambes serrées, j’ai enlevé ma robe en la passant au-dessus de ma tête avec peine et je l’ai jetée loin en rageant et j’ai continué à avancer. J’ai encore tenté de baisser mon justaucorps, mais c’était impossible sans défaire le nœud. J’étais dans un état second, j’essayais de descendre mon collant quand même… absurde, inutile, impossible, tout était bloqué !
    
    J’allais me pisser dessus, c’était inévitable.
    
    Complètement impuissante, j’ai senti mon pipi venir, je ne pouvais plus rien y faire. Un flot de liquide chaud a ...
    ... d’abord rempli ma culotte puis a coulé le long de mes jambes jusque par terre en trempant mon collant. Ça a duré très longtemps. J’étais incapable de m’arrêter.
    
    J’étais furieuse ! contre Solène bien sûr, mais contre moi aussi, car je m’étais condamnée moi-même en m’habillant comme ça.
    
    De rage, j’ai tiré sur le nœud derrière ma nuque et… je l’ai arraché ! À force de m’acharner dessus, j’avais fini par le fragiliser.
    
    J’étais enfin libérée de cette prison ! j’ai enlevé à grand peine mon justaucorps en retirant les manches et en faisant tout descendre vers le bas. Le collant et la culotte sont venus avec et je me suis retrouvée toute nue en pleine forêt, complètement trempée !
    
    Je suis revenue vers ma voiture, nue sous une belle lumière de pleine Lune, abandonnant derrière moi ces vêtements de torture que je ne porterais plus jamais, et là, j’ai réalisé que je n’avais pas la moindre idée de l’endroit où j’avais jeté ma robe.
    
    J’ai fouillé en vain dans les fourrés, impossible de la retrouver. Je n’allais pas partir sans, j’habitais en immeuble et je ne me voyais pas rentrer à poil dans le hall et prendre l’ascenseur…
    
    J’étais en train de paniquer à nouveau, quand je me suis retrouvé nez à nez avec mon prince charmant. J’étais complètement à poil, et lui me regardait avec un petit sourire, tenant ma robe à la main.
    
    Sur le coup, je suis restée complètement hébétée… sans réaction. Je n’ai même pas pensé à me cacher.
    
    Il était la dernière personne que j’aurais voulu ...