1. Le balcon de Valentine


    Datte: 15/08/2024, Catégories: f, h, fbi, hplusag, fépilée, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, ffontaine, Masturbation intermast, fsodo, jouet, init, mast, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... de ma langue.
    
    Il hésite un instant, comme cherchant ses mots, et soupire longuement.
    
    — Permettez-moi d’être cru, mais c’est vraiment ce que j’ai envie de vous dire. J’adore l’odeur de votre chatte Juliette. Un délicat fumet de femme qui m’a véritablement remué. Cette nuit, je m’imaginais vous bouffer la chatte, et vous adoriez cela. Quant au goût salé de votre mouille, c’est un régal.
    
    Les mots de Monsieur A ont fait fuir toute léthargie, et mon excitation m’empêche de respirer correctement.
    
    — Vous devez être humide. C’est très plaisant de simplement vous deviner dans cet état, alors que je connais déjà vos odeurs intimes, tout comme le goût de votre jus. Regardez-vous donc !
    
    Monsieur A semble soudain tétanisé quand je m’écarte totalement. Je m’exhibe avec un naturel qui me surprend. Yeux baissés sur mon sexe, je regarde mon plaisir sourdre de ma fente écartée par le désir.
    
    — Je n’ai pas honte !
    
    Monsieur A paraît surpris par mes paroles, et prend le temps d’avaler une gorgée de son café.
    
    — Cela vous chagrine-t-il ? J’ai cru comprendre que la honte est pour vous une source d’excitation.
    
    Ce charmant personnage est une fine mouche, et je lui renvoie son sourire. Il va me falloir oser lui poser la question qui me hante depuis la veille. Je vais devoir choisir mes mots, et tout faire pour être délicate. Ce cher Monsieur A ne doit en aucun cas se sentir froissé.
    
    — C’est tout à fait vrai. La honte et l’humiliation m’excitent, et j’aime être soumise dans ...
    ... certains petits jeux. Pas avec vous pourtant ! Je l’ai compris tout de suite. Mais rassurez-vous, j’adore me sentir aussi à l’aise. Regardez-moi donc ! Je suis écartée comme une véritable gourgandine devant vous, mes seins bandent à me faire mal, et je coule comme fontaine à m’exhiber devant vous.
    — Et vous n’en éprouvez aucune honte !
    — Non ! C’est la première fois que je me comporte ainsi. Et j’adore ça, mon cher.
    — Et moi donc !
    
    Les extrémités de mes doigts glissent sur mes grandes lèvres, et je les écarte l’une de l’autre d’un seul mouvement. Monsieur A ne semble pas être choqué par mon comportement, et rapproche son tabouret du bain de soleil. Il est penché en avant, le visage à moins d’un mètre de ce qu’il fixe intensément.
    
    — Comme c’est mignon !
    — Que trouvez-vous mignon ?
    — Votre clitoris…
    
    Sans sourciller, je me penche vers mon ventre, pour ne rien perdre de la vue de mes doigts, ouvrant plus encore ma chatte, maintenant dégoulinante de cyprine.
    
    — Il n’est pas mignon… Il est excité. Mon clitoris sorti de son capuchon est prêt à être cajolé.
    
    Il me faut maintenant sauter à l’eau, et j’espère ne pas me noyer dans ma tentative.
    
    — Est-ce que je vous excite, Monsieur A ?
    
    Mon voisin voyeur reste la tête penchée, les yeux braqués sur ce que je lui offre.
    
    — Vous en doutez, Juliette ?
    — Non ! Non, mais comment vous dire… ?
    
    Comment demander à cet homme si je le fais bander ? D’ailleurs, un homme de plus de soixante-dix ans bande-t-il toujours ? ...
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