Le balcon de Valentine
Datte: 15/08/2024,
Catégories:
f,
h,
fbi,
hplusag,
fépilée,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
intermast,
fsodo,
jouet,
init,
mast,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... n’ai pas eu le cœur à vous réveiller. Vous regarder dormir était très agréable. Bonjour, Juliette. Je vous apporte un café ?
— M’moui…
Il se lève et je marmonne un bonjour pâteux. Il me faut un moment pour mettre de l’ordre dans le fouillis de mes pensées. D’abord, le sentiment que ce vieillard a un sacré culot m’agace vivement. Puis les choses se remettent en place. Il profite pleinement de mes propres initiatives.
— Il a reluqué ton cul plus d’une heure et tu l’as bien cherché…
— Pardon ?
— Non rien… Je me parlais à moi-même. Bonjour, Monsieur A.
Ludovic est passé par mon appartement, dépose un bol de café odorant sur la table, et se rassoit sans façon sur mon tabouret. Sa manière de me regarder me fait penser à une expression connue. On pourrait dire qu’il me déshabille des yeux, si je n’étais pas déjà en tenue d’Eve. J’ai le temps de me traiter intérieurement d’idiote, avant de craquer totalement.
— Au sujet d’hier soir ?
Monsieur A me fixe un instant, et adopte un sourire que je traduis par un brin moqueur.
— J’aurais juré que vous n’aborderiez pas la question.
— Oui bon… Moi aussi. Mais je suis curieuse, et voilà…
Je souris également, mais je sens mes joues s’empourprer.
— Je vous ai vue. J’étais debout contre ma baie vitrée. Je me suis éclipsé dans mon salon quand vous vous êtes levée. Il ne dit plus rien, et je m’agace de comprendre que ce cher monsieur tient à jouer au chat et à la souris. Qu’à cela ne tienne, j’ai trop envie d’en savoir ...
... plus. Une douce chaleur me caresse maintenant l’intérieur du ventre, et j’aime trop cette sensation pour la laisser s’évanouir.
— Et ensuite ?
— J’ai vu que vous laissiez quelque chose. Vous avez quitté le salon, et je suis revenu pour prendre ce que je supposais être pour moi.
— Vous aviez une idée de ce que je vous laissais ?
J’ai bougé et mes cuisses se sont décollé l’une de l’autre. Monsieur A ne se gêne en rien pour y laisser ses yeux un long moment, avant de me répondre.
— J’espérais un autre doudou. Je ne fus pas déçu. Merci Juliette.
— Ensuite ?
— J’ai gagné ma chambre et me suis couché.
En reposant mon bol bien entamé, la pointe de mon sein frotte mon bras et ce contact m’électrise. Mes seins se mettent à bander d’un coup.
— Vous voulez que je m’humilie à vous arracher les mots de la bouche ?
Monsieur A lâche un petit rire, et claque doucement ses mains l’une contre l’autre.
— Oh… mais Juliette. Vous le faites déjà non ?
Je n’ai pas le temps de répondre qu’il continue, le regard sur mes seins.
— Et vous aimez vous humilier ainsi. C’est adorable ! Je me suis couché, et j’ai passé un long moment à sécher votre string.
Ma respiration, soudain oppressée, ne peut être ignorée, et mon voisin ne peut que constater mon état.
— Vous pourriez… Être… Plus explicite…
Tandis qu’il parle, je m’ouvre comme une fleur sous la rosée matinale. Monsieur A plonge son regard entre mes cuisses tout en me donnant des détails.
— J’ai séché votre string ...