Le balcon de Valentine
Datte: 15/08/2024,
Catégories:
f,
h,
fbi,
hplusag,
fépilée,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
intermast,
fsodo,
jouet,
init,
mast,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... magnifiques, tout cela me pousse à penser qu’il en fait des tonnes pour satisfaire mon ego. Cette façon de détailler ma fente ouverte et mouillée me donne l’impression qu’il en rajoute.
— J’espérais bien que vous aviez remarqué que je mouillais. Une précision, Monsieur A. J’ai beaucoup aimé vos yeux sur moi, alors que nous conversions. Je n’ai jamais connu ce genre de situation. Si ce jeu m’excite, soyez sûr que cela vient de vous. Vous m’excitez beaucoup.
— Je n’arrive pas à y croire. Peut-être que vous pourriez m’expliquer, ce que j’ai fait pour vous exciter ?
— Vous finirez par y croire, et en serez convaincu. Pour l’instant, je suis incapable de vous expliquer ce que votre présence m’apporte, mais je finirai par le comprendre. Je vous le dirai aussitôt.
Je me détourne pour me diriger vers la minuscule salle de bain qui m’attend. Je n’ai fait que quelques pas et lui fais face à nouveau.
— Je serais presque tentée de vous laisser me regarder sous l’eau de ma douche, mais je pense que nous ne devons pas brûler les étapes. Plus tard, je pourrai, peut-être, vous laisser libre de venir de temps en temps chez moi. Vous pourriez parfois venir me regarder dormir ? Je m’imagine au réveil, ne sachant pas si vous êtes venu dans ma chambre.
C’est en lui présentant à nouveau mon dos que je me décide à en terminer.
— Vous pouvez être fier de vous… À vous déballer mes petits secrets, je ne suis plus délicatement humide de rosée. Je suis trempée. Je ne vous dis pas à ce ...
... soir, tout en sachant que vous serez présent d’une certaine manière. C’est assez bizarre, non ?
Je suis presque à la salle de bain, quand j’entends Monsieur A me répondre qu’il trouve cela étrange, mais très excitant.
Ce sont les pépiements, et les trilles des volatiles qui peuplent le coin qui ont fini par me tirer du sommeil. Me sachant incapable de rester au lit, je quitte ma chambre pour le salon, jetant un œil par la baie vitrée du balcon, restée ouverte toute la nuit. À peine à l’extérieur, un regard sur le muret de briques ne m’apprend rien de précis, et je souris comme une idiote. Soit Monsieur A s’est empressé de prendre ce que je lui avais laissé. Soit il ne l’a découvert que ce matin. Pourtant, il est très tôt. Je devrais donc patienter pour en savoir plus. Encore que je ne m’abaisserai pas à demander quoi que ce soit. Monsieur A ne devrait pas manquer de me remercier, et de me donner des détails. L’air était déjà tiède et il n’est pas six heures. J’ai atterri nue sur le balcon et décide de le rester. Allongée sur le bain de soleil, je m’offre une cigarette, dans l’espoir que le tabac me donnera un coup de fouet. L’excellent café aussi parfumé que corsé, offert par Monsieur A, n’arrive pas à me garder éveillée, et je reste comme surnageant entre deux eaux. Alanguie, et autant prête à replonger dans les bras de Morphée, que de rester éveillée.
La veille au soir, je fumais une cigarette sur le balcon, accoudée à la rambarde. La pensée que Monsieur A m’épiait ...