« Josy » renfile son costume de salope. Épisode 34
Datte: 12/08/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... Fichée par ma chatte, sur son pieu de chair, j’étais penchée en arrière, bouche ouverte, empoignant mes seins en le regardant droit dans les yeux, en véritable Dominatrice ! Je le baisais et il subissait mes assauts. Nous avions joui après une chevauchée fantastique qui dura bien, un bon quart d’heure. Je regrettais ne pas avoir reçu son foutre au fond de mon vagin, ni sur mon corps. Pris de cours, il s’était vidé hélas trop vite dans son préservatif. Quelques semaines plus tard, nous nous en passions.
À partir de ce jour, Jean-Jacques, venait me rendre visite tous les lundis et vendredi de 17 h 15 à 18 h 45 principalement pour baiser. En effet, cet instituteur fut pour moi un amant dont je n’avais pas voulu me séparer. Il avait très vite compris mes désirs et sans lui mettre la pression, il avait su gérer mes envies, mes pulsions et mes excitations, en me procurant tout le plaisir dont j’avais besoin. Le mercredi après-midi de 13 à 18 H 30, nous le passions ensemble, ces jours-là n’étaient pas réservés qu’au sexe, si nous prenions du plaisir, nous prenions le temps de nous balader, de nous amuser, je l’avais même présenté à Gisèle et Joceline.
Si deux ans après mon accouchement, j’avais récupéré ma silhouette d’antan, je me plaignais de ma poitrine qui avait pris du volume (90 C) et mes seins n’étant plus aussi fermes qu’avant, je devais dorénavant porter un soutien-gorge. Selon mes amis et admirateurs, dont François et Pierrot, cela me rendait encore plus désirable ...
... dans mes décolletés affriolants et rendait mon physique plus sexy et plus agréable à regarder. Cela ne gênait pas non plus mes amants lorsqu’ils me voyaient en sous-vêtements. Depuis, m’y étant habitée, je ne me faisais plus de complexe.
Pendant les congés d’été 1990, j’étais allée chez ma mère qui attendait avec impatience, d’avoir dans ses bras sa petite fille Mary. J’en avais profité pour rencontrer toute la famille par la même occasion. Ayant sous la main une nounou idéale à qui je pouvais faire confiance, cela m’avait permis de sortir sans me préoccuper de ma petite. Comme j’avais promis à Françoise, j’étais venue au « Josy-Club, seulement en plein mois d’août, les habitués étant en congé, je n’avais pu voir toutes mes vieilles connaissances.
Ce qui ne m’avais pas empêché de jouir tous les soirs avec certains des nombreux touristes venus pour l’occasion. Nous avions avec Françoise revêtu notre costume de salope, un soir, nous avions mis trois hommes dans notre lit et ils avaient eu quelques difficultés à nous satisfaire tellement nous étions chaudes bouillantes, alors qu’en général, nous en choisissions qu’un seul voire deux. Elle me laissait baisé dans le box privé dans la soirée avant que nous retrouvions un type avant de partir pour finir la nuit. Pendant les quinze jours passé là-bas, j’avais baisé presqu’avec autant d’amants que pendant six mois chez-moi au « Moulin à vent ». Je m’étais totalement libérée et je fus rassasiée de sexe.
La suite de l’histoire ...