« Josy » renfile son costume de salope. Épisode 34
Datte: 12/08/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... plongeant et mes escarpins à talons hauts qui rendait ma silhouette plus élancée. En espérant que le type ait le temps de rester avec moi. Il était onze heures passé lorsqu’il sonna. J’avais accouru pour ouvrir la porte. Lorsqu’il m’avait regardé et qu’il m’avait vu dans ma tenue très sexy, j’avais tout de suite senti que j’étais une de ces playmates dont il espérait un jour rencontrer. (Sans prétention).
J’étais une femme assez chanceuse, si ce mec n’était pas Alain Delon, je pouvais tomber sur beaucoup plus moche et plus vieux. Cet homme de mon âge était plutôt pas mal, genre Henri Guybet, en plus mince, avec le même sourire que l’acteur. Ce livreur semblait pressé, je le voyais se hâter pour décharger son camion, il ne me parlait pas beaucoup, hormis le nécessaire. Une fois les cartons déballés, le meuble prêt à être installé, il regarda une nouvelle fois sa montre, je l’avais senti un peu plus relaxé : « Vous semblez bien stressé Monsieur, êtes-vous déjà si pressé de me quitter ? » Lui demandais-je. Il tourna la tête vers moi et me sourit : « Ce n’est pas ça, au contraire, je serais bien resté avec vous mais je dois encore déjeuner avant de redescendre à Aix pour 14 heures.
C’était l’occasion, je savais que je lui plaisais, et un déjeuner il pouvait s’en passer. Je devais lui faire du rentre dedans car ma petite Mary ne se réveillerais pas avant une heure et demi. Je m’étais assise de sorte que je sois en face de lui, les jambes légèrement écartées en ayant ôté un ...
... bouton supplémentaire à mon chemisier. Si avec ça, le type n’avais pas compris, tant pis, je le violerais (LOL). Bien entendu, le mec montait le meuble avec dextérité mais regardait sans cesse dans ma direction, essayant tant bien que mal de répondre aux petites questions que je lui posais sur son travail ou sur le temps qu’il ferait le lendemain. Ses yeux étaient bien trop attirés vers mon entrecuisse ou sur ma poitrine pour rester concentré.
Il était onze heures quarante lorsque le petit meuble était terminé, il se préparait à ranger les emballages mais ne désirant pas qu’il perde du temps, je lui dis : « Non Monsieur, laissez ! Je le ferai moi-même tout à l’heure. Vous avez bien un peu de temps pour boire un verre. Non ? » Jetant encore une fois un œil sur sa montre, il s’installa dans le canapé et moi dans le fauteuil pendant que je croisais et décroisais les jambes devant lui en dévoilant ma lingerie fine. Je devais désormais l’attirer dans mes griffes car il ne prenait pas du tout les devants. Je lui dis alors : « Avec votre métier, vous devez faire de jolies rencontres, n’est-ce pas ? Dommage que vous soyez si pressé. »
Tournant autour du pot, je poursuivis ma démarche : « Pourquoi êtes-vous resté ? » Prenant son air de chien battu, il répondit : « Désolé, mais je dois bientôt filer. » Le sentant un peu gêné je vins m’assoir à côté de lui et continuai. Son manque d’audace me faisait agir. En glissant ma main sur sa cuisse, je lui soufflai à l'oreille : « Vous êtes ...