« Josy » renfile son costume de salope. Épisode 34
Datte: 12/08/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
Après cette soirée mémorable de sexe en groupe où tous les couples s’étaient mélangés. Chacun d’eux était reparti de chez-moi qu’au petit matin épuisé mais conquis. Jamais ils n’auraient pu imaginer que mon idée puisse autant plaire. S’ils m’avaient tous remerciée de les avoir accueillis, le mérite en revenait à Chantal (professeur au collège), la véritable instigatrice de cet instant de partage, sans oublier Guy son mari qui avait su insister au bon moment afin d’enlever tous les doutes de certains. Ayant tous très apprécié, la date pour renouveler cette expérience fut fixée pour le réveillon du nouvel an, puis nous prévoyions d’en organiser une tous les quatre mois environ comme nous le faisions pour nos fiestas habituelles.
Cela n’empêchait pas certains de se retrouver en petit comité, comme l’avait fait Pierrot, Patricia, Gilbert et Joceline quinze jours après. Ou Joël Christiane, chez Chantal et Guy. Étant beaucoup plus libérés dans leur nouvelle sexualité, il semblerait qu’il n’y avait plus du tout d’infidélité, chacun prenait son plaisir autrement. Pour moi, la célibataire du groupe, j’avais toujours ce besoin permanant de sexe. Si avant la naissance de la petite Mary, je parvenais à m’abstenir, depuis qu’elle était venue au monde, toutes mes pulsions étaient revenues au galop.
Heureusement Gérald, vivant seul et venant régulièrement tous les mois pour chercher du matériel dans le secteur, dormait une nuit (pas entière) à la maison. C’était pour nous, un bon ...
... moyen de se retrouver. Gisèle ayant toujours apprécié baiser avec mon demi-frère, François laissait son épouse coucher avec lui dans ma chambre d’amis, tandis que lui venait dans la mienne. Nous avions vite pris nos habitudes et nos marques. J’avais trouvé en lui un amant régulier qui savait me contenter pleinement. En contrepartie, n’ayant pas toujours été satisfaite dans la semaine, lorsque j’étais avec lui, je me libérais entièrement.
Le reste du temps, il me fallait un amant au minimum deux soirs dans la semaine. Je devais donc chasser mes proies mais avec la petite Mary dans la poussette, lorsque je faisais mes courses en ville, ce n’était plus aussi facile que par le passé. Je devais être ingénieuse et beaucoup plus discrète. Une fois en novembre 1988, l’amant que j’attendais le mardi me fit faux bond et le jeudi soir l’autre n’était jamais venu. Le vendredi, j’attendais la livraison d’un meuble commandé dans un grand magasin à Marseille. Un de leurs livreurs devait venir me le monter ce jour-là. N’ayant pas touché un mec de toute la semaine, je m’étais lancée le défi de parvenir à baiser avec ce livreur que j’espérais à mon goût.
J’y avais pensé une bonne partie de la soirée et le lendemain dès mon réveil, j’attendais avec impatience la livraison. Pour mettre le maximum de chances de mon côté, J’avais prévu pour le recevoir de porter de jolis sous-vêtements, mes bas et porte-jarretelles, sous une jupe courte et plissé, avec un chemisier à bouton avec un décolleté ...