1. Andréa


    Datte: 11/08/2024, Catégories: ff, fplusag, jeunes, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, Oral fist, fdanus, uro, fouetfesse, piquepince, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Si nous n’habitions pas si loin l’une de l’autre, j’aurais sans doute mis ce projet en pratique. Plus tard, qui sait ?
    
    Mais je m’égare, ma Puce ! Tu dois être impatiente de voir enfin la craquette – cramouille serait plus juste ! – d'Andréa. Je peux te la décrire, pas te la faire sentir, hélas.
    
    Donc, une vulve épaisse, dans toutes ses formes. Elle ressort bien au bas du pubis et cette proéminence serait gênante, ou presque, pour les cuisses si le plateau pelvien était moins écarté. Les grandes lèvres se séparent du mont de Vénus en deux gros bourrelets et se rejoignent sur un périnée très court et très large. Madame a la fente longue sous un beau capuchon. Un capuchon très visible même sous la culotte, qui couvre un joli bouton d’un bon petit centimètre si rien ne le taquine. Les petites lèvres prennent haut sur la capuche et se distinguent parfaitement des grandes qu’elles accompagnent jusqu’à la commissure inférieure et dont les séparent chacune un pli profond. Lorsque Madame est excitée, l’ensemble est turgescent à mouiller !
    
    Un mot sur la carnation : les grandes lèvres sont d’un rose à peine plus marqué que la peau des aines et du pubis, les nymphes comme le capuchon sont d’un ton plus soutenu, et bien sûr, les couleurs s’accentuent quand le sang gonfle ce petit monde. Le gland du clito mis à nu est alors presque rouge. Madame est flamboyante de toison et de moule !
    
    Lorsque j’ouvre l’entaille, ou quand Madame s’écartèle elle-même – elle aime ça devant des ...
    ... copines initiées, voire profanes jeunes ou vieilles, et surtout les trop rares fois où elle profite de notre plage naturiste, et encore seule devant son miroir – bref, quand la moule est béante, la muqueuse intime se révèle d’un rose saumon, accentué sur les festons de l’orée du vagin, plus tendre à l’intérieur dudit conduit, qui désigne d’autant mieux le trou de l’urètre d’une teinte opaline et d’un diamètre supérieur à la moyenne, tu devines pourquoi. La mouille, quant à elle, est grasse, blanche, profuse, et vite arrivée.
    
    Quelques autres mots sur les fragrances : le pipi est salé, sans autre saveur particulière si le menu précédent n’incluait pas d’asperges ou autre met à effets odorants, mais peut par contre s’avérer d’un débit puissant et abondant, car la dame dispose apparemment d’une vessie de forte contenance – pas comme une certaine Puce de ma connaissance ; pour la cyprine, je dirais que le goût et le parfum rappellent le cumin avec des notes épicées, sauvages et capiteuses, croissant avec l’excitation, et que sa viscosité emplit agréablement la bouche tel un cru bien doté en jambe et en nez ; l’hygiène négligée renforce les odeurs et l’on déguste alors des senteurs de marée qui renforcent à leur tour l’envie de gougnotter.
    
    Pour finir sur lamounine, il me faut te noter l’amplitude du con. Andréa n’a pas eu d’enfant, mais j’entre sans trop forcer mon poing dans le fourreau ! Certes, j’ai des mains fines, le poignet délié, et le lieu est lubrifié à souhait. Mais ...
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