Andréa
Datte: 11/08/2024,
Catégories:
ff,
fplusag,
jeunes,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
caresses,
Oral
fist,
fdanus,
uro,
fouetfesse,
piquepince,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... oser en parler à ma mère. Andréa était la seule à qui le dire.
Le mieux était de nous mettre toutes nues pour voir. De voir à comparer, le pas a été vite fait. Et pour bien comparer, il nous a paru normal de toucher. Bien sûr, quand on touche, ça fait frissonner, mais quand on est touchée, on frissonne encore plus. Bref, nos premières masturbations l’une devant l’autre, puis réciproques, datent de notre passage au lycée où nous nous sommes enfin retrouvées. Tu peux imaginer que nous étions le plus souvent possible chez l’une ou chez l’autre pour travailler dans le secret de nos chambres pendant les années suivantes et que les révisions pour le Bac étaient plutôt joyeuses.
Une chose amusante s’est passée durant cette période d’adolescence. Gamine, j’étais du genremistoulinette, maigrichonne si tu préfères, et Andréa du genrerondouillette, ce qui ajoutait aux moqueries des petites camarades. Vers quatorze ou quinze ans, j’étais devenue plus gironde, avec de belles fesses et des hanches pleines, tandis que Andréa s’était affinée, toujours pulpeuse mais plus élancée. Nos poitrines s’étaient affirmées presque comme celle d’une adulte et nos sexes avaient pris les formes qu’ils ont toujours. Dans nos entourages familiaux respectifs, on a mis ce changement d’apparence – je ne parle pas des chattes qui n’étaient réservées qu’à nos yeux – sur le compte de la puberté. Mais pour nous, nous sommes sûres que c’est notre activité sexuelle précoce qui en est la cause.
Nous avions ...
... notre petit succès chez les garçons de la place. Je ne détestais pas d’être recherchée, susciter le désir me flattait, alors que Andréa repoussait toutes les avances. Du coup, de rouquemoute, poil de carotte, voire renarde, son surnom a viré à la lionne. J’ai eu quelques flirts à cette époque, Andréa ne me les a jamais reprochés mais elle s’est abstenue d’en avoir. Rien de bien concluant dans ces amourettes, d’ailleurs. Tu connais la définition du flirt, c’était exactement ça :le machin dans la main, la main dans le machin, mais jamais le machin dans le machin. De toute façon, notre défloration avait été notre affaire intime et mutuelle.
La fac nous a séparées à nouveau. Des études différentes dans des villes différentes nous ont éloignées de nos plaisirs en commun. Nous avons gardé le contact, échangé avec nostalgie les souvenirs de notre folle jeunesse, mais chacune a fait sa vie de son côté. J’ai vécu une année en résidence universitaire puis j’ai eu une chambre en ville dans un appartement. La colocation n’était pas courante en ces temps là et le propriétaire louait chaque chambre séparément, les pièces communes étant… communes ! Cuisine, salle de bain, toilettes, partagées, un peu rude pour moi au début, mais c’était aussi le début de la liberté.
Sur les trois chambres, une était occupée par un couple, une autre par un garçon. Je suis devenue copine avec la femme du couple et le garçon célibataire était devenu mon mari à la fin des études. Notre mariage a duré une ...