Au temps de Giono
Datte: 07/08/2024,
Catégories:
fh,
extracon,
campagne,
caresses,
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
historique,
extraconj,
candaul,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... bien, toi.
Le lendemain, Antoine trouva le Raymond assis sur son banc, au même endroit que la veille. Ce dernier ne travaillait pas, il se contentait d’attendre, comme s’il n’avait pas bougé depuis la veille. L’Antoine avait un visage impassible. Il s’assit à côté de son patron et ils restèrent quelques minutes en silence.
— C’est un beau cadeau que tu m’as fait, finit par dire l’Antoine.
Le Raymond ne répondit pas. Il regardait ses mains et attendait.
— Elle est venue. Au café, je lui avais dit qu’il faisait encore bien chaud et que j’aurais sûrement la pépie, en bas dans les pêchers. Elle n’a pas répondu, mais j’ai vu qu’elle avait compris. Je n’ai donc pas été surpris quand je l’ai vue descendre la pente avec son panier. Elle s’était faite belle. Je le voyais à ses cheveux noirs qui brillaient comme jamais, à son chemisier lavande, tout brodé, que je ne lui avais jamais vu.
— Je le lui ai offert l’an dernier, quand le colporteur est venu, pour lui faire plaisir, et je ne l’ai jamais vue le porter.
— Ça lui va bien, patron. Comme j’étais en colère contre elle, je n’ai pas voulu jouer le jeu de la séduction. Je lui ai dit « Je sais pourquoi tu es là, madame Mathilde, et tu n’as pas besoin de brailles pour ce que tu viens faire, alors enlève-moi ça tout de suite. » Elle n’a rien dit, elle a relevé sa jupe, une belle jupe noire bien propre et elle a fait glisser ses brailles le long de ses jambes blanches et lisses que c’était un vrai régal. J’ai tendu le ...
... bras et elle m’a donné son linge. Je l’ai reniflé et j’ai dit « Ça sent la femelle en chaleur. Tu n’as pas un homme à la maison ? », et elle m’a répondu « Il est vieux, tu sais, Antoine et toujours le même lit et le même homme, c’est ennuyeux ».
— Elle a dit ça ?
— Mot pour mot. Alors je l’ai attrapée par le poignet et je l’ai assise sur mes genoux. J’ai dégrafé son corsage, bouton par bouton, et elle me laissait faire. Tu es sûr que tu veux tous les détails, Raymond ?
— Tout. Raconte.
— Eh bien, tu connais ses seins, les plus beaux que j’ai jamais vus, et pourtant, des drôlesses, j’en ai connu plus d’une, je peux te dire. Je les ai empoignés, ils sont fermes et doux comme de la pâte à pain, j’ai pincé les pointes, et là, elle a fermé les yeux. J’ai pincé plus fort pour voir si elle dirait quelque chose, mais elle a juste couiné un peu. Je lui ai dit « Des mamelles pareilles, il faut que je les tète » et elle m’a répondu « Je voudrais avoir du lait et nourrir tous les hommes de la vallée ».
— Elle a dit ça ?
— Mot pour mot. Pendant que je la tétais goulûment, avec son téton tout dur qui me roulait dans la bouche, j’ai glissé une main sous sa jupe, et j’ai remonté le long de ses cuisses d’une douceur soyeuse jusqu’à sa petite moule. Elle a écarté les cuisses pour bien me montrer qu’elle voulait, je ne l’ai pas violée, ta petite.
— Je le sais, Antoine, je le sais.
— J’ai beaucoup aimé cette petite moule, les lèvres charnues, la fente délicate, le jus abondant, le bouton ...