1. Mutinerie au Congo, Chapitre 02


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... fille, s'était formée autour de Béatrice. On lui déchira le haut de sa robe et son soutien-gorge fut vite pulvérisé. Les soldats découvrirent la paire de seins qui avait naguère allaité ses deux filles devenues grandes. Ils lui léchèrent et sucèrent les mamelons, qu'elle avait d'un brun intime au milieu d'aréoles bien rondes. Tandis qu'on la déshabillait, elle continuait de se lamenter en criant le nom d'Anne, parfois aussi de Juliette. Pas besoin d'être grand clerc pour savoir que les mutins étaient en train de violer tout le quartier blanc.
    
    Avant longtemps, Béatrice fut toute nue au milieu des soldats, qui la violèrent un peu, mais la plupart des hommes attendaient leur tour pour violer Anne. Ils s'amusaient avec la mère pour patienter, mais gardaient leur sperme pour la fille. Béatrice les suppliait de la prendre, elle, et de laisser sa fille tranquille. Elle refusait de s'avouer à elle-même que c'était déjà trop tard pour Anne.
    
    Anne était déshonorée, secouée sur la table, ses seins nus offerts dans toute leur pureté aux regards, aux mains et aux bouches charnues des soldats nègres. Ses seins arrosés de bière de banane, mouillés de salive aussi, luisaient d'un magnifique éclat sous la lumière naturelle, bougeant en leitmotiv sous l'effet des viols répétés.
    
    Quand ce fut enfin son tour, le caporal Thierry Kasongo viola Anne en lui disant que sa grande sœur s'était laissée sauter comme une pute la nuit d'avant et qu'elle avait pris son sperme en couinant comme une ...
    ... salope confirmée. Il la secoua à lui donner mal à la tête pendant de longues minutes, jusqu'à lui tirer ses puissants jets chauds. Il sortit d'elle en lui disant qu'elle hurlait bien et qu'elle faisait une meilleure pute que sa grande sœur, mais le mieux serait sans doute de les engager à la paire comme forfait.
    
    La troupe des soldats en liesse la viola comme des forcenés. Anne LeBlanc fut forcée de recevoir tous les mutins qui l'entouraient, en descendant les grades et l'ancienneté jusqu'à deux jeunes recrues qui avaient son âge. Le soir tombait déjà. Le coucher de soleil fut aussi majestueux que d'accoutumée; les nuages vieux rose comme en juin se foutaient éperdument du chemisier d'Anne et de son vieux rose déchiré.
    
    Pendant que des soldats dévalisaient le garde-manger des LeBlanc, le major Ilunga fit escorter Anne pour une pause-salle de bains. Il ordonna ensuite la même chose pour Béatrice.
    
    Ensuite, la jeune fille fut plaquée de nouveau contre la table de la salle à manger, mais cette fois elle tournait le dos à ses violeurs. On plaqua son visage sur la table et on lui annonça qu'il était temps d'africaniser son beau petit cul de fille belge.
    
    Tous les soldats s'émerveillèrent des fesses d'Anne, bien rondes. On vint lui lécher cette beauté aussi lisse que saisissante. On alluma le lustre, mais l'éclat de ce cul de petite femme éclairait puissamment les viols.
    
    Le major Ilunga entama l'enchère avec son gros pénis, bandé de nouveau et rechargé à bloc. Après avoir ...
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