Mutinerie au Congo, Chapitre 02
Datte: 05/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... bien bâti! Elle l'avait bien choisi. À ses grognements, Juliette sentit sans peine que le type savourait chaque seconde de cette baise intense. La jeune fille sentit ses jambes défaillir à la vue des fesses bien musclées du colosse en plein dans l'acte.
Mais Virginie... Elle!? Elle!? Juliette l'avait toujours vue élégante et bien mise dans ses tenues impeccables, ses lunettes de bibliothécaire et son style de coiffure hérité des années quarante, qui lui donnait cet air à la fois sévère et coquet.
Virginie passa les jambes autour de son amant d'ébène, et Juliette se sentit mise au défi, car elle était belle, Virginie, avec ses jambes au galbe agréable à voir, même pour Juliette. Mais si cet homme adorait la baise avec une femme qui approchait la trentaine, que dirait-il d'une jolie Blanche tout juste sortie de l'adolescence?
Juliette sentit jusque dans ses os à quel point Virginie jouissait fort sous les assauts répétés du nègre. Elle se mit à se masturber frénétiquement, fit de légers bruits sans s'en rendre compte, oubliant où elle était.
Le Congolais secouait Virginie comme un prunier, sur le matelas en transe, puis il grogna particulièrement fort et laboura frénétiquement la Blanche. Il explosait en elle!
Virginie savourait cette apothéose en se tenant bien fort aux montants d'acier de sa tête de lit.
Juliette fit un petit bruit légèrement plus fort que les autres. Le nègre tourna la tête et elle sentit son regard se poser sur lui. Elle vit ou crut voir ...
... un sourire se dessiner sur le visage du Congolais.
Elle prit la poudre d'escampette. Il l'avait vue! Juliette sentit sa chatte baignée de torrents de sécrétions. La sagesse lui conseillait de battre en retraite et de se recoucher auprès de Martine, mais la curiosité et la folie la retenaient. Tôt ou tard, ce beau colosse allait sortir de la chambre. Juliette n'avait qu'à l'attendre pour s'offrir à lui dans la salle de séjour, et il la prendrait en silence dans un coin de la pièce. Elle était certaine qu'il voudrait; il serait peut-être un peu réticent d'abord, mais elle lui montrerait ses seins, puis ses fesses, et elle doutait qu'il puisse résister à ses charmes de lycéenne.
C'était mal; c'était déloyal envers Virginie, mais la bite noire... La bite noire. Juliette la voulait.
L'homme ne se fit pas attendre longtemps. Dès qu'elle le vit dans le couloir, Juliette lui fit signe d'approcher. Le nègre était nu; il portait ses vêtements enroulés sous son bras. Son pénis devenu flasque se dandinait, bien joufflu, entre ses cuisses aux feux sombres.
Juliette lui fit signe de la suivre dans la salle de séjour. Soudain, elle le reconnut. C'était le caporal Thierry Kasongo, l'un des hommes les plus grands et les mieux bâtis de Camp Hardy. Elle le connaissait de vue depuis une dizaine d'années; il devait avoir trente ou trente-cinq ans.
Elle passa ses bras autour de son cou épais et l'embrassa avec ferveur, comme elle n'avait jamais embrassé un homme. Elle se sentit toute ...