1. Qui m’a prise ? Le dénouement Fin.


    Datte: 31/07/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Effrontée, Source: Hds

    ... sais que ce soir c’est à moi que tu vas appartenir.
    
    - Tu l’as l’air bien sûr de toi, non ?
    
    Je lui lance un sourire qui se veut provocateur. Je vois une onde de panique dans ses yeux avant de prendre un air de reproche.
    
    - Tu ne vas pas te ridiculiser j’espère. Ce sont des collègues de bureau…
    
    - Je sais, je sais mon chéri. Mais ce soir je veux qu’ils soient là pour moi. Je vais découvrir qui m’a prise et cela sans l’aide que tu me refuses.
    
    Sur ce je lui flanque un plat dans les mains.
    
    - Rends-toi utile apporte le plat dans la salle à manger. J’arrive.
    
    Je suis surprise du ton autoritaire que j’emploie. Il me regarde, estourbis et décontenancé. Je lui fais un petit bisou sur le front comme je le ferais pour consoler un gamin qu’on vient de gronder.
    
    Mutine, je déboutonne un deuxième bouton de mon chemisier. La soie s’étale et découvre une partie de mon sous vêtement. Je suis déterminée à entrer dans l’arène.
    
    Quand je pénètre dans la pièce, le silence se fait spontanément. Ils se tiennent tous les trois debout autour de la table dressée. Un sourire triomphant je lance :
    
    - Eh bien messieurs, qu’y a-t-il ?
    
    Plusieurs secondes s’écoulent et c’est René qui se ressaisit le premier.
    
    - Vous êtes sublime, Chantal. Vraiment.
    
    - Vraiment ? Et bien vous m’en voyez ravie.
    
    Je ricane en moi même de tant de courtoisie feinte et de condescendance obligée. Ces cochons ne savent pas sur quel pied me prendre. Le jeune Francis, tout rouge, me fixe et me ...
    ... déshabille des yeux. Quelques gouttes de sueurs perlent sur son front. J’imagine son dilemme. Son envie de me baiser serait-elle plus forte que ses principes de fidélité ? Il ne sera pas difficile à corrompre, si les deux autres ne l’assassinent pas. Ce candidat me plait de plus en plus et mon chéri, blême, est mort de jalousie. Il doit sentir que la situation lui échappe.
    
    En plus, ce salaud mate mon décolleté comme s’il le découvrait. Ça en est comique. Il ne reconnaît pas sa douce et soumise épouse ?
    
    - Je vous invite à vous assoir.
    
    La première partie du repas est très charmante. Mes trois cavaliers rivalisent de gentillesses, de compliments et de sollicitude. René et Francis ne se privent pas d’éloges et de remarques cavalières sur ma tenue qu’ils jugent sexy. Ce dernier pourtant est gêné. Ce n’est pas un libertin, ni un dragueur. J’en perçois un plaisir supplémentaire à l’idée de me donner à lui… devant les deux autres !
    
    Autour de la table, mes convives sont à portée de main. Je m’amuse à poser ma main sur celle de René, pour appuyer un échanges, ou celle de Francis que je maintien en place un temps plus qu’il est convenable pour une maîtresse de maison. Quand je les retire c’est pour caresser délicatement le dos de ces mains que je sens frémir sous mes doigts. Que je me sens bien ! Lentement une onde de chaleur envahit mon bas-ventre. D’ici peu je ne vais plus mes contrôler. J’imagine facilement que cela se lit sur mon visage car le regard des deux impétrants est de ...
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