Au service - Histoires de Sexe

Au service

... d'un ton brutal : "Si tu veux que ton mari n'ait pas de problèmes, Lèches !" Mon cœur s'arrêta un instant. Elle venait de me tutoyer et en plus j'avais désormais à 80 cm de mon visage cette chatte à demi rasée et charnue. J'étais coincée sur mon fauteuil, me lever c'était m'approcher d'elle. Je n'avais jamais trompé mon mari et cela me semblait impensable, encore plus avec une femme...

"Si dans 10 secondes tu n'as pas posé ta langue sur mon sexe, tu n'es pas prête de revoir ton mari. Je vais le faire envoyer à l'autre bout du monde !!!" ajouta-t-elle.

Comme un robot, malgré moi, en pleurant, je me penchai vers ce sexe de femme. Contrairement à ce que je pensais il sentait bon. Cela m'aida lorsque je dus appliquer la langue. Elle écarta sa vulve et timidement je donnais des petits coups de langues. Elle me prit la tête et le guida. Je continuai de pleurer, mais c'était nerveux... Je commençais à trouver ça pas désagréable... Si en plus ça pouvait faire de moi un jour Madame le Colonel...Je fis des petits cercles autour de son clitoris et la léchai en allant et venant jusqu'au moment où elle eut un orgasme.

Là, elle desserra l'emprise qu'elle avait sur moi. Je pris mon sac à main et partis en courant.

Arrivée à la maison, il me fallut beaucoup de temps pour m'en remettre. Heureusement, les enfants étaient soit à l'école ou avec la nanni.

Mon mari revint de mission peu après. Je ne lui en parlai pas. Nous avons fait l'amour comme d'habitude... Sans exploits ni ...

... grand orgasme pour moi. Je pense ne jamais avoir eu de réels orgasmes avec mon mari !

Un après midi, je reçus une lettre de Madame la Colonel me disant que le lendemain à 14 heures une voiture viendrait me chercher. Il était écrit en rouge "Tenue correcte exigée".

Le lendemain alors que mon mari travaillait, je mis ma robe noire et attendis la voiture. Elle arriva ponctuellement, je demandai au chauffeur ou nous allions, il ne me répondit pas.

Nous arrivâmes finalement devant la maison du Colonel, il me fit entrer dans le salon puis disparut.

Je me retrouvais seule au milieu de ce grand salon. Je vis le fauteuil ou la dernière fois je m'étais assise...Tout d'un coup, une voie claqua derrière mon dos : "J'avais exigé une tenue correcte ! Pas une tenue de petite bourgeoise, ça ne te va pas. Sale petite pute".

Je me sentis rougir. Elle apparut toujours habillée stricte avec un chemisier et une jupe écossaise. Elle me glissa un billet de 100 francs dans le décolleté et me dit : "Voici pour ta performance de la semaine dernière..." J'étais pétrifiée. Je voulais partir mais je n'avais plus la force.

"Enlève ta robe, elle ne te va pas. La prochaine fois tu mettras une jupe courte et plissée avec un chemisier transparent." Voyant que je n'enlevais pas ma robe, elle s'approcha de moi et me l'arracha. J'étais désormais en collant, slip et soutien-gorge. Elle commença à rire : "Ridicule ma pauvre fille. Des collants... Mets le billet que je viens de te donner dans ton sac ...