Au service - Histoires de Sexe

Au service

... de plastique noir. La forme était agréable et douce (je n'ai jamais sucé le sexe de mon mari).

"Maintenant retourne-toi et met toi a quatre pattes sur le lit".

Elle vint derrière moi en levrette et commença à me caresser les seins et à me pincer les bouts. Je sentis l'objet entrer dans mon vagin qui se dilatait avec l'engin. Au début, ça fit mal, mais dès qu'elle commença à bouger et à taper au fond de mon vagin, je sentis un énorme plaisir monter. Alors que j'allais jouir, elle s'arrêta brutalement et enfonça son pouce dans mon anus. La douleur était insupportable. Je hurlai. Elle me retourna et me gifla.

"Salope, tais-toi. Pour la peine, tu n'auras que 400 francs et je ne te ferai pas jouir aujourd'hui. Mets toi à genou et demande moi pardon" Je m'exécutai. "Maintenant lèche-moi les pieds...." J'hésitais "Suce petite salope ou je te supprime encore 100 francs" Après m'être excusée. Je me rhabillai avec mon slip et mon soutien-gorge. Elle brûla mon collant. Je ne pouvais pas remettre ma robe noire, il fallait refaire plusieurs coutures. Elle me donna un pantalon fin moulant violet en tissus brillant et un tee-shirt de la même matière en noir.

" Comme ça, tu as plus l'air d'une pute". Elle me jeta mes 600 francs à la figure et appela le chauffeur qui me ramena à la maison. Dans le rétroviseur, il me lançait des regards vicieux et irrespectueux. Je pense que Madame la Colonel avait atteint son but.

Mon mari partit en mission. Le lendemain, je reçus un appel : ...

... " Ce soir une voiture viendra te chercher, Tenue correcte exigée, tu sais ce que cela veut dire maintenant. Tu te laves jusqu'au fond de l'anus. Tu te parfumes tout le corps et tu te débroussailles le sexe. Tu gagneras 2000 francs !" J'allai faire des courses. Le soir arrivant, j’étais prête.

La voiture vient me chercher. C'était toujours le même chauffeur. J'avais une jupe plissée légère qui allait au-dessus du genou. Un chemiser fin qui lorsque je n'avais pas ma veste laissait voir un soutien-gorge pigeonnant.

A ma grande surprise nous sortîmes de la base et roulâmes un bon quart d'heure jusqu'à un manoir dans un parc. Il faisait sombre.

Je fus accueillie par Madame la Colonel qui me fit suivre de nombreux couloirs où je finis par arriver dans une petite salle où se trouvait une autre femme d'officier : l'un des plus brillants qui avait eu une carrière très rapide...

"Je ne vous présente pas, vous vous connaissez... Ca n'a d'ailleurs aucune importance...J'attends de vous la plus grande discipline et de l'obéissance pour ce soir. Vous allez entrer sur la scène par cette porte et faire ce que nous vous dirons. Mon mari est dans la salle..." Je me révoltais, là ça allait trop loin ! Elle ne répondit pas et sortit quelques clichés où l'on me voyait lécher les pieds d'une femme, me faire prendre en levrette, etc...

"Voulez-vous que ces photos fassent le tour de la base ?" On nous fit entrer sur la scène. Ma collègue - Sophie - qui avait l'air très expérimentée ...