1. Au service


    Datte: 22/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Omarrrr, Source: Hds

    ... épuisé...
    
    J'ai ensuite été ensuite conduite dans une salle de bain ou enfin on m'enleva mon bandeau. Je pris une douche.
    
    Mes vêtements n'étaient plus là. A la place se trouvaient une petite robe noire très décolletée et courte, une paire de dim-up et des escarpins noirs à talons aiguilles. Pas de sous-vêtements. Sur une enveloppe qui contenait de l'argent (mon pourcentage et la somme promise avant), un petit mot était écrit : ’Tu n'as pas besoin de sous-vêtements ! A 00h00 précise le chauffeur te ramènera chez toi. Sois prête sinon...’ Il était déjà 23h58. Je me dépêchais à enfiler les bas et la robe, j'avais à peine fini que j'entendis un bruit de clef dans la porte. Le chauffeur m'ouvrit " Il est minuit. Sort de là !". Alors que je me dépêchais de chausser mes escarpins il me lança " L'heure, c'est l'heure ! dépêche-toi salope, si dans 3 secondes tu n'es pas sortie, je te laisse enfermée là !".
    
    Je me pressais. Difficile de marcher avec des talons hauts lorsque l'on n'a pas l'habitude !
    
    Dans la voiture, j'allumais la lumière histoire de remettre de l'ordre à ma tenue !
    
    Je constatais que ma robe était un peu transparente !
    
    Le chauffeur ne rentra pas dans la base, mais s'arrêtant devant la porte, il me lança.
    
    "Mon service est terminé, je rentre. Descends !".
    
    Je dus donc passer par l'entrée de la base, tout en essayant de garder mon ...
    ... rang de femme d'officier, juchée sur de talons de 8 cm et une robe qui cachait à peine mes seins et d'où pointaient mes tétons durcis par la situation. A l'air avec lequel me regarda la sentinelle lorsque je passai sous le lampadaire, je pense bien que l'on voyait encore plus que ça !
    
    Le carré où se trouvaient les logements des officiers se trouvait à l'autre bout de la base, je dus donc traverser à 1h00 du matin toute une base militaire avec des souliers qui résonnaient sur le bitume de telle sorte que tous les hommes que je croisais se retournaient. Dès qu'ils voyaient la manière dont j'étais habillée leur regard ne me quittait plus. J'étais plus terrorisée par la réputation que j'étais en train de me faire plutôt que par l'idée de pouvoir être violée !
    
    J'arrivai finalement à la maison. J'ôtai mes escarpins pour ne pas réveiller mes enfants.
    
    Je venais encore de découvrir une face cachée de ma personnalité : j'étais exhibitionniste.
    
    Même si au début, cela m'avait gêné. Le regard de tous ces hommes m'avait excité. J'étais en plus persuadée qu'ils avaient tous appréciés. Ils me trouvaient certainement 'canon'.
    
    J'étais tellement excitée que, malgré les douleurs anales, je me masturbai avant de m'endormir. Mon mari n’était de toute manière pas là...
    
    Je rangeai la robe et les escarpins très précieusement... Je les porterai certainement encore. 
«12...6789»