1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1588)


    Datte: 22/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... apocalyptiques, faisant passer son pouce sur le frein de mon prépuce. Mon corps tremblait, je fermais les yeux… N’y tenant plus, j’étais à deux doigts d’éjaculer ! Mais à cet instant précis mon sein gauche s’enflammait, la douleur pénétrait au fond de ma poitrine. Alors que la seconde pince mordait mes chairs, cette main sur mon sexe s’arrêtait… Je soufflais longuement, péniblement, bavait toujours plus et postillonnant à tout va, alors qu’Antoine geignait lui aussi, en sourdine du fait de son bâillon, lorsque les deux pinces lui furent posées en même temps, très rapidement… Sur ordre de cette dissolue cuisinière, le soumis nous faisait avancer et nous accompagnait vers une sorte de portique où je distinguais à peine, au travers de la cagoule, la présence de multitudes cordes et de crochets. Antoine et moi avancions difficilement, nos seins nous brûlaient, la corde nous limait le cul et les couilles. Sous le portique, il nous installait côte à côte, puis attachait nos bras noués à des crochets. Nos bras étaient tirés vers le haut et devenaient immédiatement douloureux en raison de leur position et de la pression de la corde :
    
    - Ecarter les cuisses les salopes, et toi attache-leur solidement les pieds ! Ce n’est pas tous les jours qu’on a la chance d’avoir un soumis comme toi au Château, ancien marin de profession et qui connait ainsi toutes les techniques du nouage de cordes ! Alors fais-moi encore de bons nœuds dont tu as le secret, ordonnait-elle encore avec quelques ...
    ... coups de cravaches sur la croupe du soumis expert en bondage.
    
    Une fois le travail accompli, le soumis nous mettait un bandeau sur les yeux. Nous ne voyons plus rien, j’entendais Madame Marie et le soumis s’éloigner, la porte se refermer… La pièce était plongée dans le silence et dans le noir. Heureusement, je savais Antoine près de moi. Nous restions seuls, attachés, saucissonnés à moitié pendus par les bras (je dis à moitié car nos pieds touchaient terre) et écartelés, les bras douloureux. Mon ventre sous l’effet du lavement était agité de spasmes bloqués par le plug qui maintenait une pression grandissante agissant comme un véritable bouchon. J’avais l’impression que mon ventre allait exploser telle une bouteille de champagne si on en retirait le plug. Ma prostate comprimée lançait des appels qui venaient exciter mon gland que je ne savais calmer. Le gonflement de ma nouille était à son apogée… Depuis combien de temps étions-nous là seuls, cinq minutes, dix, un quart d’heure ? Une main venait brusquement de se poser sur ma nouille. Un sursaut me saisissait et me lançait des douleurs dans tout mon corps ligoté et entravé. Qui était là, entré silencieusement ? La maudite cuisinière ?, Le Maître ?, Walter ?, ce soumis ? Quelqu’un d’autre ? En tout cas, ce quelqu’un était devant moi, il me saisissait les couilles et la nouille dans ses mains. Je prenais du temps à comprendre ce qu’il me faisait, il était en train de nouer mes couilles, sans doute avec une cordelette. Cet (te) ...