1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1588)


    Datte: 22/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... véritablement saucissonnés…
    
    Parmi les nœuds, le soumis avait laissé émerger mes tétons. Madame Marie tirait sur ceux-ci, les pinçait fermement, les faisait rouler entre ses doigts. Cette douleur enflammait ma nouille tuméfiée et ligotée. Jamais n’aurais-je pensé que ma poitrine, cette partie de mon corps, eut été autant érogène. Mon bas-ventre me brulait, j’étais secoué par des spasmes incontrôlables. De sa poche, cette infâme et immorale cuisinière sortait des pinces, reliées entre-elles par une petite chaînette. Elle en appliquait une sur mon sein droit et refermait la mâchoire de fer sur le bout de mon téton. La douleur n’était pas instantanée mais profonde, intense et dévorante dès qu’elle s’installait, après quelques secondes. Je soufflais profondément en attendant que la seconde pince aille mordre mon autre bout de chair sensible. Cette attente me rendait presque fou… La sadique cuisinière me laissait mijoter et prenait un véritable plaisir sadique à me laisser ainsi, je devinais aisément que ça l’excitait, qu’elle devait en mouiller de son plaisir à faire souffrir…
    
    - C’est bon salope… tu apprécies !... Tu attends l’autre pince, hein… Humm… tu sais quoi la chienne… tu me fais mouiller de te voir ainsi, humm que ça m’excite, tout ça ….
    
    Madame Marie soulevait alors sa jupe courte, passait sa main sous son bas-ventre. Je ne voyais pas, mais sans doute avait-elle plongé celle-ci dans son sexe… Elle la ressortait…
    
    - Regarde ma mouille, je suis toute trempée de ...
    ... te voir apeuré par l’attaque imminente de ton second téton de sale putain… Je suis sûre que tu voudrais lécher mes doigts, grosse salope que tu es…
    
    Au lieu de ça, elle empoignait mon gland violacé, tumescent et frottait ses doigts en les faisant rouler contre celui-ci pour y déposer ses fluides intimes… Puis elle complétait son mouvement en se frottant vivement les paumes de ses deux mains en appuyant, avec mon gland ainsi maltraité entre ses deux paluches… Je me contractais de toutes mes forces, restais en apnée, le corps ravagé par le désir, brulant de l’intérieur, alors que mon cul inondé était en proie à des gargouillements intenses et que je me sentais moins que rien, juste un pantin malléable à volonté pour faire de mon corps servile ce qu’on voulait en faire...
    
    - Ne jouis pas salope, ne jouis pas !, me menaçait-elle en me brandissant un long couteau de cuisine qu’elle attrapa d’une étagère derrière elle… Sinon tu regretteras toute ta vie d’avoir juté, le chien, si tu jouis, je te coupe les couilles…
    
    Je savais très bien qu’elle n’irait pas jusque-là, que Monsieur le Marquis garantissait de ne pas nous mettre en danger et que cette menace extrême était juste l’expression de son pervers et incurable sadisme, mais je dois avouer que cette parole en l’air produisait inévitablement son effet de terreur… La sadique cuisinière reposait le couteau à sa place et me branlait juste le gland avec sa main poisseuse par des frottements terribles et des mouvements de rotations ...