1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1588)


    Datte: 22/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1587) -
    
    Chapitre 32 (bis) : Les turpitudes d’une nuit particulière -
    
    - Accroupies les chiennes !, ordonnait cette fois-ci, cette femme acariâtre…
    
    La perverse cuisinière nous abandonnait là, dans cette posture difficile à tenir avec nos rectums pleins d’eau… pour revenir quelques instants plus tard avec un soumis tenu en laisse, marchant derrière elle. Lui aussi avait droit à quelques coups de cravache sur son postérieur nu, lui aussi se faisait haranguer et sermonner.
    
    - Va faire ce que je t’ai ordonné, sale chien de bâtard !, lui imposait-elle en le cravachant plus vigoureusement.
    
    Le soumis malmené passait d’abord derrière moi, ses doigts glissaient sur mon trou, je sentais un liquide froid contre ma rondelle, un de ses doigts entrait en moi. Il me badigeonnait le cul de gel lubrifiant. Sans me laisser plus de temps pour comprendre ce qu’il se passait, ce soumis introduisait un plug dans mon cul, presque d’un seul coup. L’objet devait être assez gros, il m’arrachait un long gémissement, suite à la brûlure de cette pénétration.
    
    - Tais-toi salope !, me lançait la Cuisinière en me cinglant le bas du dos… Je vais te passer l’envie de couiner si tu continues...
    
    C’était au tour d’Antoine de subir cette même épreuve, lui aussi geignait, lui aussi était cravaché. Une fois plugés tous les deux, la perverse cuisinière nous intimait l’ordre de nous ...
    ... relever, de lever nos bras et de les replier derrière la tête, de façon à ce que nos poings viennent toucher nos nuques. Le soumis alors près d’elle, se saisissait d’une corde et nouait solidement mes poignets. IL faisait descendre la corde le long de mon torse et de mon dos. Je ne voyais pas ce qu’il faisait, mais je sentais qu’il la nouait en un complexe réseau de nœuds serrés qui m’empêchaient presque de bouger. Ma respiration devenait de plus en plus courte, ma bave coulait de ma bouche et un inconfort proche de la douleur me gagnait. Une fois que le haut de mon corps fut complètement ligoté, le soumis faisait passer la corde dans ma raie du cul jusqu’à qu’elle ressorte vers mes couilles. Je sentais qu’il entourait fermement mes burnes puis faisait remonter cette corde vers mon torse où il faisait un dernier et savant nœud. Sitôt qu’il eut terminé avec moi, il recommençait ce même bondage sur Antoine, alors que Madame Marie vérifiait si la corde posée sur mon corps nu était véritablement bien attachée. Elle tirait sur celle-ci, ce cordage était rugueux à souhait. En tirant ainsi, Madame Marie me brûlait la raie du cul et les couilles, de sorte que le moindre mouvement me faisait souffrir. Mais la pression de cette corde sur le haut de mes couilles et le bas de ma nouille renforçait mon érection. Mon gland devenait hypersensible, et j’aurai aimé pouvoir le toucher pour lui arracher quelques instants de plaisir. Hélas, j’étais ligoté, comme l’était maintenant Antoine, nous étions ...
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