1. La pointe espagnole


    Datte: 22/07/2024, Catégories: fff, ffh, fplusag, frousses, Collègues / Travail groscul, hépilé, fépilée, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, fdanus, journal, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... l’inverse.
    
    Elle regardait son compagnon se faire sucer par deux femmes sans le moindre signe de jalousie ni d’agacement. Il n’était pas difficile de deviner que sa remarque s’appuyait sur une longue expérience personnelle. Il fallait avouer que cette situation insolite provoquait des effets secondaires chez chacune d’entre nous. Une fois encore Chloé me surprit, sa main gauche semblait lui échapper tellement elle frottait fort son sexe avec une respiration de plus en plus rapide. Béatrice avait sa main droite sur le sexe et avec la gauche elle malmenait ses seins avec brutalité. Elle les malaxait, les pétrissait et elle en tirait visiblement un plaisir qu’elle ne dissimulait pas. Bien sûr je m’occupais aussi de monclitounet qui me faisait presque mal depuis le temps qu’il attendait un doigt secourable pour jouer et le faire jouir afin de le calmer.
    
    Je le titillais doucement le faisant balancer de droite à gauche avec mon index que je trempais dans mon vagin pour le rendre onctueux et glissant. Je massais doucement le bout du petit gland tellement sensible qu’il en devenait presque douloureux. Rapidement je le saisis entre deux doigts pour accélérer la délivrance qui survint au moment où Chloé ne put réprimer un petit cri de plaisir à la survenue de son orgasme. À côté de moi, Béatrice se mit presque à convulser, elle rudoyait son sein comme si elle voulait l’écraser.
    
    Les deux suceuses s’étaient arrêtées, mais reprirent leur activité buccale quand elles nous eurent ...
    ... identifiées. Je vis les orteils de Thomas se crisper et, simultanément, il expulsa une belle giclée de sperme qui inonda le visage de Marianne. Les suivantes furent récupérées dans la bouche d’Anna qui se leva et vint en faire profiter Béatrice par un baiser appuyé, ce qui me sembla logique. Béatrice ne voulut pas faire de jalouses et nous gratifia, Chloé et moi, d’un baiser avec une langue tapissée de la semence de Thomas. Un goût différent de celle d’Alain et assez proche de celle d’Alex. J’avais sucé quelques sexes d’hommes, pas très nombreux, et j’avais été étonnée des nuances de goûts que les spermes avaient, sans parler des différences de textures. Anna m’avait fait rire lorsque j’avais fini par lui raconter l’épisode Alex : « C’est comme en cuisine, le fond est le même, mais l’assaisonnement peut être un peu diffèrent ». La formule manquait d’élégance, mais avait le mérite de décrire la réalité.
    
    Marianne et Chloé avaient apporté quelques sandwichs dans une petite glacière que nous avons rapidement engloutis. Chloé courut à la cabane chercher de l’eau carrément tiède. Il y avait un peu plus de monde, mais pas la foule et, avec la marée basse, on ne distinguait que des silhouettes au loin. Deux ou trois hommes étaient passés, l’un d’eux la queue fièrement dressée, faisant maladroitement semblant de ne pas nous regarder. Mais ils avaient sûrement été découragés par le nombre.
    
    Marianne et Chloé s’en allèrent pour la réouverture du magasin l’après-midi. Chloé voulut se ...
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