4 – Le rendez-vous - Histoires de Sexe

4 – Le rendez-vous

... voir nue !
— C’est tout ? fait Rosa, faussement naïve.
— Peut-être pas !
— Tu veux m’aider ? fait-elle en se tournant.

Brigitte déboutonne nerveusement le haut en même temps que Rosa fait glisser la fermeture éclair de sa jupe qui tombe à ses pieds, immédiatement rejointe par le chemisier froissé.

Brigitte écarquille les yeux. Elle a souvent fantasmé Rosa dans ses froufrous, mais elle n’imaginait certes pas un spectacle aussi délicieux, aussi raffiné : par-dessus les bonnets du soutien-gorge vermillon, ses seins nus impudiquement offerts, leurs tétons très durs et très saillants pointant indécemment au centre de larges mamelons d’un brun foncé et, cerise sur le gâteau, le buisson noir et touffu de sa toison pubienne, encadré au-dessus et sur les côtés par l’entrelac de tulle et dentelles du porte-jarretelles, et en dessous, par le liseré brodé de ses bas de nylon noirs !

— Ça te plaît, minaude Rosa ?
— Voulais-tu me séduire à nouveau ?
— C’était pour le cas où tu hésiterais : je voulais pouvoir te convaincre !
— Ça me plaît. Tu me fais voir le côté pile ?
— C’est-à-dire ?
— Ton cul.

En riant, Rosa fait lentement un tour sur elle et remue les fesses d’une manière aguicheuse.

— Madame est satisfaite ?
— Tu es très belle, Rosa, et oui, je suis satisfaite. Alors, maintenant, je vais m’occuper de toi ! Je veux ton cul. Je veux tes nichons. Et je veux ta chatte ! Je veux sentir ta mouille sur mes doigts et dans ma bouche ! Je veux que tu jouisses de ma ...

... main et de ma langue…

Rosa ne peut retenir un petit « oh » de surprise : Brigitte l’a subitement poussée sur le lit et elle la contemple avec un air gourmand. Elle s’installe au-dessus d’elle et se penche au-dessus de sa poitrine pour prendre un téton dans sa bouche, provoquant un soupir voluptueux chez sa belle collègue qui ferme les yeux : Brigitte suce goulûment le téton dressé, tandis que ses doigts jouent avec l’autre. Rosa gémit.

— Et maintenant, ordonne Brigitte, ouvre tes jambes !

Rosa s’exécute et Brigitte s’installe, fascinée par la chatte de son amie.

— Magnifique, poursuit-elle. C’est le genre de chatte que je préfère, prune, avec de belles lèvres grasses, bien juteuses !
— Ma chatte est à toi, Brigitte !
— Depuis que tu m’as montré tes dessous, je me suis caressée tous les jours en fantasmant sur toi ! Et maintenant, je vais manger ta chatte !

Et elle plonge entre ses jambes pour embrasser la chatte de Rosa. Elle la lèche, de haut en bas. Elle suce le clitoris. Dire que Rosa avait envisagé un moment de jouer l’effarouchée, la femme convenable, réservée et responsable ! Elle se laisse aller sans hésitation, sans pudeur, sans fausse réticence au plaisir que lui offre Brigitte qui, de fait, la contrôle totalement !

— C’est une des meilleures chattes que j’ai jamais mangées, fait Brigitte en relevant la tête ! Et j’en ai beaucoup mangées !
— Et tu es… une… une… oh… une des meilleures… meilleures langues qui m’ait… mmm… jamais léchée !

À suivre