4 – Le rendez-vous
Datte: 21/07/2024,
Catégories:
ff,
Collègues / Travail
lesbos,
Auteur: Polyphème, Source: Revebebe
... avec un sourire admiratif.
— Je veux bien te croire, mais cela me déçoit un peu, s’amuse Rosa avec un air faussement boudeur.
— Et je te jure que je ne le regrette pas !
Et elles éclatent de rire !
— Tu es vraiment très belle, reprend Rosa…
— Merci.
— … très belle et très sexy ! Encore plus sexy que je l’imaginais ! Et ça me donne des idées !
— Vraiment ?
— Je crois que oui, répond-elle en montrant ses mamelons gonflés sous l’étoffe mouillée.
— Toi aussi, tu es très belle, Rosa, et tu me plais.
— J’ai cru comprendre.
Satisfaite, Brigitte achève de se savonner comme si de rien n’était et le regard de Rosa est de plus en plus étincelant ! Brigitte est décidément fabuleuse à regarder ! Une grande et belle jeune femme aux jambes longues, aux cuisses musclées et aux chevilles délicates ! Mince, mais pas maigre, svelte et pulpeuse, une taille fine et un cul rebondi ! Des seins gonflés, lourds et fermes, aux tétons roses incroyablement érigés qui semblent si durs qu’ils accrochent le gant de toilette. Et un sexe noir, bien fourni, mais impeccablement taillé où Rosa croit deviner le contour d’un cœur…
Brigitte se rince, sort de la baignoire et, sans mot dire, ses mains viennent englober les seins de Rosa, les comprimant imperceptiblement, comme pour en éprouver le volume et le poids, et en apprécier la fermeté. Elle a un petit « oh » étonné lorsqu’elle découvre l’extravagance de la mise de la poitrine dans le soutien-gorge !
— Rosa, ils sont si doux, si ...
... fermes, dit-elle. Oh, j’ai tellement envie de toi. C’est si bon ! Je veux… Je veux que ce soit aussi bon pour toi.
— C’est le cas, soupire Rosa en se cambrant et en poussant ses seins plus profondément dans ses mains.
— Je peux t’embrasser ?
Brigitte lève sa bouche vers celle de Rosa et l’embrasse profondément, intensément. Ses mains quittent ses seins pour saisir son visage alors que sa langue se glisse entre les lèvres entrouvertes pour débusquer celle de Rosa : il ne leur faut qu’une ou deux secondes pour s’entendre sur le rythme de leur baiser et unir leurs langues dans un tempo voluptueux !
Instinctivement, Brigitte glisse son genou entre ceux de Rosa et, sans rompre le baiser, le fait remonter entre ses cuisses, vers l’avant et vers le haut, poussant la jupe jusqu’à la lisière de ses bas, appréciant la douce nudité du haut de ses cuisses.
Rosa frissonne en sentant le genou mouillé frotter contre sa vulve en même temps que Brigitte réalise qu’elle ne porte pas de culotte.
— Tu veux que je te sèche, suggère soudain Rosa ?
— Bien sûr ! Tu n’as qu’à prendre la grande serviette !
Rosa s’exécute et, singulièrement calme, commence à essuyer tout doucement son amie. D’abord les bras, les épaules – tranquillement, lentement – elle semble très réservée, très prudente, presque craintive. Quand elle arrive à ses seins, elle sent à travers la serviette les mamelons durcis avec lesquels elle joue longuement et sans aménité jusqu’à provoquer un petit cri chez la jeune ...