1. 4 – Le rendez-vous


    Datte: 21/07/2024, Catégories: ff, Collègues / Travail lesbos, Auteur: Polyphème, Source: Revebebe

    ... Brigitte finit de se déboutonner ! Elle se débarrasse du vêtement qu’elle laisse sur une étagère et prend une pose de défi, les poings sur les hanches. Elle fait quelques pas dans l’allée en narguant sa collègue qui tente vainement de détourner les yeux, mais, ne parvenant pas à ne pas fixer ses seins, elle ferme les yeux avec un sourire gourmand…
    
    La chatte de Rosa s’humidifie rien que d’y penser…
    
    — Toujours pas d’idée, reprend Brigitte ?
    — Non, je ne vois pas…
    — Alors, ouvre les yeux !
    
    Brigitte la provoque et lui offre un véritable spectacle de cabaret, virevoltant, se trémoussant, sautillant pour faire bondir et rebondir ses seins et ondulant voluptueusement des fesses. Les yeux de Rosa étincellent, elle ne peut plus ignorer cette poitrine somptueuse, ce cul dodu adorablement moulé dans le cuir rouge ! Soudain, Brigitte s’approche d’elle et positionne son sein juste à côté de sa bouche ! C’est si dur de ne pas céder et de le sucer, mais elle se retient.
    
    — Tu es folle, fait-elle en remuant la tête !
    — Tu n’as pas envie de le sucer ?
    — Si, mais…
    — Alors, fais-le !
    
    Et saisissant le visage de Rosa entre ses mains, elle force doucement sa bouche sur son mamelon. Rosa proteste en riant, mais ne résiste pas à la délicieuse tentation : elle suce, lèche et embrasse avec enthousiasme, passant d’un téton à l’autre, les aspirant goulûment, les raclant avec les dents, les mordillant, elle n’a pas oublié comment offrir du plaisir à une femme et, tout en suçant ses ...
    ... seins, commence à pétrir le cul de Brigitte qui, respirant de plus en plus bruyamment, s’apprête à défaire la ceinture de son pantalon…
    
    Stop !
    
    Cela aurait peut-être pu se passer hier, et cela se passera sûrement plus tard ! Ses doutes sont levés : elle n’hésite plus.
    
    La matinée se termine : on s’en doute, elle n’a guère été productive ! Les bureaux se vident. Elle s’est arrangée pour s’isoler autant que possible de ses collègues, pour ne pas avoir à s’expliquer si elle était interrogée sur les détails de son problème-alibi. Elle file une dernière fois aux lavabos, dénoue ses cheveux, les ébouriffe légèrement, remet un peu de rouge à lèvres et, en chuchotant, interpelle son reflet dans le miroir.
    
    — ¡Yo cuidaré de ti, pequeña tortillera ! Quiero tu culo. Quiero tus tetas. ¡Y quiero tu coño ! ¡Quiero sentir tu humedad en mis dedos y en mi boca ! Quiero que disfrutes de mi mano y mi lengua…
    — Rosa, tu t’entends ?
    — Sí.
    — Et tu n’as pas honte ?
    — No.
    
    Et elle s’envoie un baiser avec la main…
    
    Il est 12 h 15 quand elle quitte le service et, une demi-heure plus tard, elle sonne chez Brigitte.
    
    — Oui ? grésille l’interphone.
    — C’est moi, Brigitte, c’est Rosa !
    — Monte et entre. La porte n’est pas fermée à clef.
    
    Tout comme Rosa, Brigitte a longuement réfléchi à cet instant et a échafaudé un plan destiné à convaincre son amie de tenter l’expérience, car elle est persuadée qu’elle est effectivement purement hétérosexuelle… Elle accroche son peignoir à une patère ...
«1234...7»