1. Fin de galère ?


    Datte: 20/07/2024, Catégories: fh, Collègues / Travail caresses, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... vulve glabre à la fente dévoilée s’écarte lentement pour l’intromission. Puis elle s’empale jusqu’au dernier millimètre. Elle dandine du popotin, se caressant le fond du vagin avec le bout du gland, avant d’entamer une lente et progressive chorégraphie. Lorsqu’elle se soulève, son bassin bascule en avant puis se renverse à son apogée pour redescendre basculé vers l’arrière. Un mouvement alterno-rotatif digne de Monsieur Timonier, l’inventeur entre autres de la machine à coudre. Il veut s’emparer de ses seins, elle le lui interdit en lui plaquant les poignets sur le lit. C’est elle qui, en arquant le dos, vient lui sucer et lui mordiller douloureusement les tétons. Une rageuse envie d’éjaculer en elle le saisit, il donne des coups de bassin, mais elle pèse de tout son poids sur les bras écartés et accélère ses allers-retours. Elle lit dans ses yeux la montée du plaisir, alors elle saute à terre, le laissant éberlué et frustré.
    
    — Viens me baiser pendant que je nous prépare du café, lance-t-elle en se drapant dans le drap et en filant à la salle.
    
    Elle remplit le filtre et met de l’eau à chauffer.
    
    — Je vais me laver les dents, j’ai une haleine de chameau.
    — Oui, moi aussi, mais je voudrais bien pisser d’abord. Comment veux-tu avec ce gourdin qui regarde le plafond ?
    — Pisse dans la douche !
    — Ah oui, tu as raison.
    
    C’est ainsi qu’il lui tourne le dos, essayant désespérément de débloquer ses vannes tandis qu’elle se frotte l’émail.
    
    — Hum… mais dis donc, c’est que ...
    ... tu as un petit cul superbe ! Je ne te vois jamais de dos, moi !
    
    Elle se met à lui caresser les fesses, puis les hanches, puis elle se colle à lui et lui prend le pénis à deux mains.
    
    — Ah ben non, si tu me tripotes, je ne suis pas près d’y arriver.
    — Allez, pissou-pissou-pissou, comme je faisais à Pascal quand il était petit… Là, tu vois, ça vient… Oh ce jet ! Mes aïeux, je couche avec le jet d’eau de Genève ! Ha ha ha !
    
    Elle prend son café, assise sur ses genoux, il en profite pour lui caresser éhontément les seins, le cul et le sexe, mais aussi pour se gaver de ses formes retrouvées.
    
    — Tu sais que tu es vraiment belle ? Ça me surprend à chaque fois. Tu es plus belle en vrai que dans mon souvenir.
    — Haha ! Belle, moi ? Une bonne petite paysanne bretonne, solide, avec de gros gigots, de gros jarrets et un gros cul ! Si ça te plaît…
    — Oui, ça me plaît beaucoup. Tu vois bien comme je bande.
    — Mais ça, c’est parce que tu sais que tu vas me baiser. C’est comme le whisky breton, tu en veux bien parce que tu n’as plus le grand whisky que tu faisais venir d’Irlande.
    — D’Écosse ! Mais non, je ne dis pas cela pour me convaincre moi-même ni pour te faire plaisir, mais parce que c’est vrai. Oui, tu es grande et athlétique, mais c’est très beau, avec des formes belles et bien dessinées… Tu féliciteras ta mère de ma part, elle t’a bien réussi.
    
    Soudain, le téléphone portable de Jérôme vrombit sur le buffet.
    
    — Qui peut bien vouloir m’agacer un samedi matin ? … Allô ? … ...
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