1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1681)


    Datte: 19/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... doigt dans mon cul, bien droit, bien rigide me poussant vers une chatte offerte et que ma langue léchait. Je tanguais d’un corps à l’autre, je léchais des hanches invisibles, je m’enveloppais dans certains corps transgenres, je suçais des doigts, des tétons, des culs odorants, des couilles lourdes, je me faisais manipuler par des mains innombrables, des sexes me pénétraient, je léchais des cuisses dégoulinants de sperme ou de cyprine, je bouffais des culs et des chattes bien écartés, contre lesquels je sentais la tiédeur de la pièce, emplie encore une fois, de ces râles et de gémissements d’ivresse, je respirais l’odeur du stupre et de la luxure en rampant à quatre pattes...
    
    Mais soudainement, j’étais tiré de mon sommeil brutalement, de ce sulfureux rêve divinement orgiaque. En effet, Maxence me giflait d’abord méthodiquement, avec une énergie déconcertante, sans une once de pitié et encore moins de compassion. Ensuite, lorsqu’il cessa, il posait sa main derrière ma nuque pour soulever ma tête. Du bout de ses doigts, de son autre main, il m’écartait la bouche, m’obligeant à la garder grande ouverte. Alors, il glissait dans mon orifice buccal deux comprimés, puis se saisissait d’un gobelet plastique posé à proximité, qu’il me présentait aux lèvres. J’avalais ces comprimés et ce liquide froid et malodorant qui n’était autre que de la pisse. Je me retenais pour ne pas gerber alors que Maxence, me regardait toujours sans un mot, d’un œil pervers et dépravé pour m’humilier ...
    ... davantage, pour me montrer ma véritable nature d’esclave. Constamment il m’écrasait un peu plus, me détruisait et m’annihilait en me faisant ramper dans la dépravation la plus totale. Il lâchait son regard du mien pour s’installer entre mes cuisses relevées. Sa main se saisissait de ma nouille érigée, pressait douloureusement mon gland duquel s’échappait un liquide visqueux et translucide.
    
    - Salope de chienne !, lançait-il
    
    C’était la première fois qu’il s’adressait indirectement à moi… Du bout de son index, il collectait ma mouille, index qu’il me carrait dans le cul immédiatement après. Puis, sauvagement, il caressait et massait ma rondelle offerte pour venir ensuite placer un appareil tout près de mon anus, sans doute un laser fonctionnant à lumière pulsée. Je sentais seulement des picotements et de la chaleur, mais rien de douloureux ! Au bout de quelques minutes seulement l’appareil était débranché, et Maxence repartait en me laissant dans l’inconfort et de nouveau seul. Impossible de refermer les yeux, je restais ainsi, les muscles totalement ankylosés et tétanisés. Pourtant au bout de quelques minutes seulement, je sentais dans mes veines une forme d’apaisement, de relaxation complète, lorsque la drogue de ces deux comprimés commençait à faire leur effet. C’était comme une chaleur intense qui remontait depuis mon bassin, jusqu’à ma nuque, envahissant tout mon dos. Je me sentais bien, je me sentais lascif, chienne, chienne en chaleur plus exactement, tout mon corps ...