1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1681)


    Datte: 19/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1677) -
    
    Chapitre 52 : Loué à un inconnu -
    
    Alors, de bon gré, en levrette, je lui offrais ma raie en écartant de mes deux mains mes fesses, pour qu’il puisse agir ! Après avoir pris un modeste repas, à quatre pattes, cul en l’air et reins cambrés, tête plongée dans une gamelle métallique… après avoir avalé une bouillie infâme, sans saveur… j’étais maintenant couché, à plat dos, sur une table, les jambes attachées en l’air, le cul au bord de cette table, les cuisses maintenues écartées, les mains derrière la tête, prises dans des sangles de cuir m’empêchant de les utiliser. Madame Brigitte après m’avoir ôté cette cage de chasteté me pressait les couilles douloureusement en me disant.
    
    - Je ne suis pas sûr que tu passes une bonne nuit, la salope… mais ici, il faut que tu t’habitues à dormir la croupe en l’air. Ton cul vaginalisé qui devient donc désormais ta chatte de chienne en chaleur peut servir à tout moment, nuit et jour, alors il faut qu’elle soit toujours accessible, toujours offerte à la saillie, tu comprends ça… Hein la putain !
    
    Cette perverse bonne femme me laissait là, immobile, dans le désarroi, dans le tumulte de mes pulsions, pulsions exacerbées par ces drogues que l’on m’injectait que je supposais être des mélanges d’hormones et d’aphrodisiaques et de je ne sais quoi d’autres… Maxence, quant à lui, toujours sans un mot, comme si je n’étais rien, ...
    ... comme si je n’existais pas, préparait deux pinces qu’il me plaçait peu après sur les tétons… Ces pinces mordaient terriblement mes chairs sensibles, si bien que je gueulais en me débattant. Comme consolation, Maxence me giflait à deux reprises avec un mépris certain… Peu après, tous deux me laissait là ! Il m’était bien difficile de trouver le sommeil, surtout dans cette posture et lorsque j’y parvenais, quelques minutes après, j’étais réveillé en sursaut par des cris ou des gémissements, par des portes qui claquaient, par des feulements de mâles en rut, des jouissances bruyantes et certainement non retenues au niveau sonore… Bref, je savais que cette nuit-là allait être cauchemardesque ! Le silence était revenu, la lumière s’était éteinte, malgré les crampes me tenaillant le corps, malgré les pinces posées sur mes tétons, malgré les soubresauts explosifs dans mon ventre, malgré ma nouille en permanence érigée, je me sentais sombré, mon esprit s’embrumait doucement mais surement jusqu’à ce que des images incroyables défiles sous mes yeux, jusqu’à ce que j’entraperçoive un vaste champ empli de fleurs colorées et bordé d’une nuit étoilée…
    
    Il y avait là du monde, beaucoup de monde qui dansait et chantait, des centaines de personnes nues qui avaient entamé une danse, une danse d’amour ou le sexe rayonnait, où le sexe était roi. Un décor de paradis terrestre avec des scènes de luxure peu compatibles avec ce magnifique cadre de l’Eden. J’étais conduit là au travers des corps en rut, ...
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