1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1681)


    Datte: 19/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... des odeurs de sperme, de cyprine, et de sueur, jusqu’à une haute et immense sculpture trônant au centre de ce champ fleuri, où un buste d’un étalon dressé sur ses pattes arrière, en rut, dont le sexe crachait un laser rouge vers le ciel. A l’arrière, à l’emplacement du cul de la statue équestre, une porte immense où j’entrai comme attiré par un instinct primitif me dictant le passage de la porte… L’instant d’après, je me retrouvais à l’intérieur d’une vaste pièce remplie de corps d’hommes et de femmes entièrement dénudés qui s’ébattaient, dansaient à même le sol de terre battue, gémissaient, orgasmaient, se caressaient, se léchaient, se doigtaient, se baisaient. Une véritable et prodigieuse orgie de sexe s’offrait à mon regard. La lumière tamisée ici était presque éteinte, et je devais faire attention où je mettais les pieds pour continuer à avancer. Arrivé au milieu de la vaste pièce, je trébuchais sur une hanche et me vautrais nu parmi les autres corps nus, dans un océan de mains, de ventres, de sexes affamés, d’odeurs animales. Quelques mains venaient recouvrir mon corps servile, ma vue se perdait dans les ténèbres de la perversion, de l’extase, de la luxure. Je discernais aussi, mais à peine, l’odeur d’encens étrange, des fleurs que je ne connaissais pas. Une main dans mon dos me poussait à me retourner, alors je me retrouvais face à une silhouette, mi-homme, mi-femme qui posait ses deux mains sur mes pectoraux, et me pinçait les tétons jusqu’à ce que je crie. Cette ...
    ... créature profitait de mon cri pour me dévorer la bouche, puis elle me poussait sur et contre le sol, ma tête reposant sur une cuisse chaude et contractée qui ne faisait que s’agiter, alors que la créature, dont je ne discernais à peine les traits saisissaient mes deux cuisses, les relevaient pour poser un sexe bandé à l’entrée de mon cul…
    
    Mon rêve érotique continuait : Je murmurais alors une supplique, mais cet être, maintenant mi-homme, mi-animal, plutôt que de me pénétrer laissait là son sexe bandé, comme une menace, saisissait dans sa main mon chibre couvert de sperme et me branlait en même temps qu’il se branlait, d’une main experte. Mon esprit s’envolait encore et je trouvais une autre partenaire, une jeune femme très belle, aux cheveux clairs et longs ondulés et qui me prenait tout contre elle. Elle semblait vouloir me serrer comme un frère entre ses bras, tout en me faisant un véritable appel à la copulation en écartant généreusement ses cuisses… Elle gémissait lorsque je la pénétrais de ma nouille bandée. Je la baisais et lui donnais tout ce que j’avais au fond du ventre, et elle le recevait au fond du sien, m’embrassant à pleine bouche au moment de l’orgasme, me murmurant qu’elle m’aimait. Alors j’ôtais mon sexe luisant de cyprine et de suite je replongeais dans la foule de corps nus enchevêtrés de l’orgie, de gémissements de plaisirs, de râles jouissifs venant de toute part. Je m’y laissais retomber comme une vague de feu, un amant malade et rampant. Je sentais ce ...
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