1. « Josy » : La petite salope prend bien son pied mais jette l’éponge. Épisode 27


    Datte: 16/07/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... Paradis » pour venir ici après le coup de pute que m’avait fait Jean-Lou, l’homme que j’aimais et qui avait en plus, refusé de m’engrosser.
    
    En effet, à l’époque Françoise, qui avait créé à elle seule, « l’Éros-Club » la boite libertine et d’échangiste, n’avait pas accepté mon départ. Pour me venger, elle menaça mon ex qui m’avait dépouillé de mes biens, de partir avec sa clientèle, pour la plupart des personnes issues de ses propres connaissances. Françoise gérant également toute la partie administrative du « Paradise-Club » lui posa un ultimatum, elle continuait à régir la boite de nuit, à la seule condition qu’elle puisse racheter en son nom « l’Éros-Club » tel un fond-de-commerce.
    
    N’ayant personne de confiance sous la main à qui proposer le poste, mais également ayant les mêmes compétences que mon amie, Jean-Lou, accepta le deal. Depuis Françoise venait régulièrement les lundis ou mardi au « Josy-Club » comme elle le faisait depuis plus de dix ans. Ses affaires fonctionnaient bien, elle m’avait toujours proposée de nous associer mais avec les problèmes de racket en tous genre, je n’avais jamais voulu la mêler à cela. Pourtant elle était au courant et me relançait tous les ans, elle savait que nous pourrions à nous deux faire un carton avec nos deux affaires, elle avait même un projet pour le « Josy-Club » : Faire à l’étage comme elle avait fait jadis, un club libertin en plein centre-ville.
    
    Les années s’étaient écoulées sans que son projet ne voie le jour. En ...
    ... novembre 1986, après une descente de police au cabaret, j’avais pris ma décision, je vendais. Depuis que le commissaire principal était à la retraite, j’en avais assez d’être à la merci des voyous et des flics ripoux. D’autant plus que j’avais trente-six ans et demi, je devais absolument trouver un père au bébé que je désirais depuis si longtemps. Je savais très bien que ce n’était pas au « Josy-Club » que j’allais rencontrer l’homme qui m’enfanterait. Je ne voulais pas forcément vivre avec le géniteur, je voulais simplement un bel homme, intelligent et travailleur.
    
    Lors de l’acquisition de la ferme où j’avais créé ma première affaire en 1974, mon ami Daniel le notaire que m’avait fait rencontrer Françoise, avait eu le nez fin en mettant à mon nom propre, cet achat en viager. J’avais eu une nouvelle fois de la chance. Dix ans plus tard M. Chartier décéda et fin 1985, sa pauvre épouse, âgée seulement de soixante-quinze ans, suivit son mari dans la tombe. Ce bien que je louais à « Paradis » mon ancienne société, m’appartenant pleinement désormais fut mis en vente. Jean-Lou conseiller par Michel le comptable, me payant trois loyers conséquents pour la guinguette, le restaurant et la discothèque, me le racheta à un bon prix.
    
    Ce qui me permit de préparer mes arrières. En effet, j’avais acheté début 86, une jolie résidence en Provence dans l’arrière-pays, dans le village où j’allais régulièrement passer mes vacances. Je comptais bien après avoir vendu le « Josy-Club » y vivre ...
«1...3456»