1. « Josy » : La petite salope prend bien son pied mais jette l’éponge. Épisode 27


    Datte: 16/07/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... surement pas en leur offrant un autre verre de champagne que j’y parviendrais. J’étais très excitée à l’idée de baiser, c’était mon dernier espoir pour cette nuit : « Et si vous veniez tous les trois, ça vous chante ? »
    
    Nous n’étions pas allés dans le box privé. Ces trois types ne s’étaient pas faits prier, ils finirent leur coupe en vitesse et Jacques perdit sa timidité rapidement, il passa derrière moi et en me caressant les flans, m’embrassait tendrement dans le cou. Gilles le plus âgé face à moi, leva ma jupe et en regardant mes cuisses harnachées de mon éternel porte-jarretelles et mon mini string en dentelle s’exclama : « Putain Jacques ! t’as tiré un sacré numéro ! » Pendant ce temps, Jean-Marc le troisième m’avait enlevé les boutons de mon chemisier et en flattant chacun de mes seins dit à son tour : « Quels nibards elle a, cette salope ! »
    
    J’étais fière de leur plaire, je me laissais faire, j’adorais leurs propos et leurs remarques, lorsqu’ensemble ils se mirent à me dévêtir tout en me caressant de partout. Ne portant pas de soutien-gorge, en quelques secondes, je m’étais retrouvée avec seulement : mes bas, mon porte Jarretelle et mes escarpins à talons. Jacques me demanda gentiment de me mettre à genoux puis quelques instants plus tard, ils avaient tous leur pantalon au niveau des chevilles. Ils me présentaient à tour de rôle devant mon visage, leur queue encore un peu trop molle, afin que de ma bouche, je les fasse bander.
    
    Pendant que mes lèvres ...
    ... suçaient et que ma langue léchait Jacques, je branlais d’une main, Jean-Marc et Gilles de l’autre, puis vice et versa. Ma spécialité en gorge profondes, avait fini de les étonner, leurs réflexions en témoignaient, à l’unanimité, ils appréciaient énormément. Après une bonne dizaine de minutes à leur tailler une pipe comme rarement ils avaient vécu, me retrouvant à quatre pattes, Jacques qui n’en pouvait plus, fut le premier à me baiser la chatte par derrière, tandis que Gilles devant moi, continuait à se faire sucer, je branlais la belle queue de Jean-Marc.
    
    Pendant un long moment, ils intervertirent leur place, puis, je ne me souviens plus comment ils me prenaient, j’étais ballotée, culbutée de tous les côtés comme une poupée gonflable. J’eus, pendant plus d’une heure, une bite dans chaque trou, ou une langue agile et des doigts qui me faisaient jouir. Ils me baisaient comme j’adorais, sans me laisser de répit après mes divers orgasmes. Ils m’avaient littéralement défoncée, j’étais KO lorsqu’ils étaient repartis du « Josy-Club ».
    
    Voilà comment se passait en général mes rencontres d’un soir, je n’avais pas encore trouvé l’homme de ma vie, celui avec lequel je ferais un enfant. Je ne voulais surtout pas finir comme Françoise qui, à quarante ans passés, ne pouvait plus en avoir. Pour reparler de ma meilleure amie que je n’avais jamais cessée de voir, celle-ci m’avait toujours soutenue dans les pires moments de ma vie. En particulier en 1982 lorsque j’avais revendu mes parts du « ...
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