1. « Josy » : La petite salope prend bien son pied mais jette l’éponge. Épisode 27


    Datte: 16/07/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... empêchant les clients de me voir, je l’avais laissé faire car cela me plaisait. Cet allemand parlait très bien le français, il était de passage en ville pour signer un contrat avec un client le lendemain, avant de repartir chez-lui à Dresde.
    
    Après plusieurs minutes, sa main toutefois douce, s’étaient aventurée un peu plus haut sur ma cuisse où certains de ses doigts jouaient avec mon porte-jarretelles et son index frôlait le petit triangle en dentelle de mon petit string. M’ayant sentie très réceptive et n’ayant, à aucun moment, essayé de lui retirer sa main, il tenta une approche directe : « Je dois rentrer, tu viens avec moi à l’hôtel ? » Je fus dans l’obligation de lui refuser en lui disant que j’étais la patronne de cet établissement. Je lui avais moi-même répondu de la même façon : « Attends la fermeture, tu passeras la nuit avec moi. »
    
    Je sentis qu’il était très déçu, il serait bien resté, néanmoins n’ayant dormi que deux heures la veille et devant signer son contrat à 9 heures à Lyon, il était impossible pour lui de veiller jusqu’à point d’heure. Il devait absolument dormir un peu, il s’excusa : « C’est vraiment dommage, tu me plais beaucoup Josy. » J’avais tout fait afin qu’il reste, je lui avais même masser le sexe à travers le pantalon où je m’aperçus qu’il ne m’avait pas menti. Avec un air triste, il demanda : « Désolé Josy ! Peux-tu me dire où trouver une pute pour me soulager. » Puis il se leva en me faisant un petit clin d’œil, il finit sa phrase : « Bon ...
    ... ! Je vais uriner avant de partir. »
    
    Comme je lui avais répondu qu’il y avait de jolies prostituées devant son hôtel, je me posais cette question : Était-ce une invitation à le suivre aux toilettes ? Je m’étais moquée des quand-dira-t-on, je m’étais levée à mon tour et l’avais rejoint discrètement aux sanitaires. En effet, il était certain que je vienne le rejoindre, il m’attendait et m’attira dans la cabine où il baissa son pantalon dès qu’il avait fermé la porte. J’étais tellement excitée par cette situation, que je ressentais la cyprine suinter de ma fente, j’étais pressée d’en finir, je voulais qu’il me prenne comme une vraie petite salope.
    
    Je relevai ma jupe droite jusqu’à la taille, retirai mon petit sous-vêtement et posai mes mains sur le battant de la cuvette pour me pencher en avant. Dans l’état où se trouvait Helmut, je n’avais pas eu le besoin de le sucer, il bandait déjà comme un taureau, lorsqu’il me pénétra. Sa queue épaisse à souhait me remplissait la chatte largement mouillée. Il s’activa en râlant pendant que je gémissais de plaisir. Ses coups de boutoirs à la limite de la sauvagerie étaient si intenses que j’avais joui bien avant lui, alors qu’il me ramonait toujours. Puis après quelques minutes à ce rythme, il enleva sa capote et éjacula copieusement sur mes fesses, avant de repartir en me disant : « Merci Josy. »
    
    Ce même soir, lorsqu’Helmut était parti vers 1h30 du matin, cette petite baise, m’avait laissé le gout : « du reviens-y. » J’avais du mal ...
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