1. En trois lettres


    Datte: 12/07/2024, Catégories: fh, hagé, fagée, couple, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral pénétratio, fdanus, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... langue et n’ose pas dire que je lui fais du bien. Elle brille de mes baisers, contente qu’enfin on s’occupe d’elle, la mal-aimée de l’amour, pourtant si sensible. Tu sens comme elle se crispe ? Je vais l’aider à se relâcher, à m’offrir son pistil…
    —(Relevant la tête) Tu… tu ne m’as jamais fait ça, Alain, je suis un peu perdue, c’est… c’est… très étrange, mais pas désagréable, jamais je n’aurais pensé que l’on puisse aimer embrasser là, je ressens des choses, mais je n’arrive pas me détendre.
    — C’est normal, ma chérie, la feuille de rose est une caresse très intime, il faut la prodiguer avec tendresse, amour, délicatesse et patience, pour peut-être espérer que son partenaire l’appréciera. Nous, on a attendu trente-cinq ans avant d’oser, mais rien ne presse, mon amour… !
    
    Je poursuivis mon exploration sans insister, m’attardant ensuite sur le périnée, lui aussi sensible aux caresses intimes de ma langue gourmande. J’entendis plusieurs fois Cécile soupirer profondément, sans pouvoir dire si c’était de lassitude ou de bien-être, ma femme n’étant guère expansive de nature sur ses ressentis intimes. Quelques gouttes perlaient tout de même sur ses grandes lèvres, je les recueillis, cette mouille un peu timide dénotait sans doute un désir d’amour conventionnel après s’être prêtée à la réalisation de mon fantasme.
    
    Alors, ma bouche quitta à regret les merveilles de sensualité que mon épouse dissimulait beaucoup trop sous ses vêtements sages, et rampant sur le corps presque ...
    ... alangui de ma parfois tendre moitié, je remontai jusqu’à sa nuque que je couvris de mille et un baisers.
    
    — J’ai très envie de toi, ma chérie, j’ai envie de te pénétrer au plus profond et de jouir en toi. Tu veux faire l’amour avec ton mari ?
    — Tu m’as bien chauffée, dis donc, oui, viens en moi, viens !
    
    Avec d’infinies précautions, je m’introduisis en elle, attentif à ce que sa mouille pas toujours abondante aide ma colonne de chair dans sa lente, mais excitante progression. Quand mon pubis fut plaqué contre ses jolies fesses, je m’étendis sur son dos et glissai mes mains sous son ventre, les remontant vers ses seins opulents.
    
    — Je suis tout au fond de toi, ma chérie, et j’y suis merveilleusement bien, tellement bien que je veux y jouir avec toi.
    — Arrête de discuter, bouge maintenant !
    
    Ce que femme veut… J’exauçai donc Madame par de longs et profonds va-et-vient dans ses chairs accueillantes, je sentis ses reins se cambrer lorsque le plaisir se fit imminent, alors je pinçai les pointes de ses seins et me répandis au plus loin de son antre d’amour, elle m’accompagna d’un profond soupir, resserrant ses cuisses, ses fesses plaquées contre moi dans sa quête de l’orgasme libérateur.
    
    — Reste encore un peu sur moi, j’aime bien la chaleur de ton corps contre le mien.
    — Tant que tu voudras, ma beauté, tu sais bien que je ne me lasse jamais de tes formes.
    — Ça, je sais, c’est toujours plus facile de te faire bander que de te convaincre d’aller au théâtre ou à une ...
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