1. En trois lettres


    Datte: 12/07/2024, Catégories: fh, hagé, fagée, couple, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral pénétratio, fdanus, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... vous l’avez deviné, remise… à plus tard.
    
    Que faire ? Insister n’est pas l’idéal, s’énerver et formuler des reproches l’est encore moins, mais quand l’abstinence prolongée engendre la frustration et fait planer sur le couple l’ombre du désamour, le risque devient grand que tout s’effondre. Prendre une maîtresse ? Oui, bien sûr, mais ce n’est pas si facile, il faut mentir, sécuriser son téléphone, inventer des rendez-vous, et souvent se contenter d’étreintes furtives dans un hôtel sans charme, on échange alors un tue-l’amour contre un autre. Non, il faut convaincre, réveiller la libido, dire l’amour qui sommeille, se montrer à la fois tendre et en proie au désir, innover, surprendre, guetter la réaction, recommencer, ne pas laisser l’ennui ronger ce qui reste d’amour.
    
    Un peu surprise, ma femme se laissa faire lorsque, au réveil, je me mis à tendrement lui masser le dos, d’abord à mains nues puis à l’aide d’une huile prévue à cet effet. Je m’appliquai à y mettre beaucoup de douceur, sans m’approcher de ses fesses élégamment moulées dans un joli sous-vêtement de dentelle offert il y a peu, me concentrant sur son dos.
    
    — Mmmm… c’est bien agréable de se réveiller ainsi… encore un peu les épaules, s’il te plaît… oh oui, tu as des talents cachés, mon chéri, bravo… !
    
    Je poursuivis encore un moment, à califourchon sur ses cuisses, mais sans lui faire sentir la douloureuse érection que provoquaient sur moi ses cuisses encore tièdes et ses adorables fesses, juste comme je ...
    ... les aime, charnues, pleines de promesses, mais dont elle ne semblait pas réaliser l’attirance qu’elles suscitaient chez moi. Je terminai par une petite tape amicale sur ces soyeuses collines et rangeai mes onguents, ne voulant rien brusquer qui gâcherait ce petit moment de félicité.
    
    — Déjà ? C’était pourtant un vrai plaisir, tu peux recommencer quand tu veux, mon amour… !
    — Point trop n’en faut, ma jolie, tu ne dois pas t’habituer à la luxure !
    
    Nous rîmes tous les deux, et la journée ordinaire débuta, cortège de tâches pas toutes épanouissantes, mais lorsque nécessité fait loi, rien ne sert de procrastiner.
    
    Quelques jours plus tard, après avoir reçu un couple d’amis, nous allâmes nous coucher assez tard et, sans doute en raison de quelques verres et cafés excédentaires, le sommeil ne nous enveloppa pas tout de suite.
    
    — Dis-moi chérie, ça te dirait un petit massage pour t’aider à t’endormir ?
    — Pourquoi pas ? C’est une bonne idée, d’autant plus que tu es assez doué d’après mon souvenir récent.
    
    Cette fois, je rejetai la couette au bout du lit et me mis entièrement nu.
    
    — Tu permets que je t’enlève ta culotte ? Je ne voudrais pas la tacher avec l’huile de massage, et puis comme ça, je vois tes adorables fesses !
    — Cochon ! Oui, tu peux me l’enlever et mater mon gros cul, mais je préfère que tu éteignes la lumière, ma cellulite n’est un spectacle pour personne.
    — Oh, tu n’as pas un gros cul, tu as un fessier qui est un appel à l’amour, cela n’a rien à voir.
    — ...
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