1. En trois lettres


    Datte: 12/07/2024, Catégories: fh, hagé, fagée, couple, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral pénétratio, fdanus, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... Masse-moi, maintenant, au lieu de dire des bêtises !
    
    Cette fois, je débutai par la plante des pieds, puis les mollets, avant de remonter le long des cuisses, mes mains bien à plat et mes pouces massant l’intérieur, avant de redescendre et de recommencer, mes pouces écartant délicatement les jambes de l’élue à chaque passage.
    
    Reprenant un peu d’huile, je remontai jusqu’aux divines fesses de mon épouse, et me mis à les pétrir de bas en haut, jouant de leur galbe, flattant leurs gracieuses courbes pleines avant de redescendre vers le haut des cuisses.
    
    À deux mains, je massai désormais une seule jambe à la fois, du mollet à la fesse, enveloppant de mes dix doigts ces chairs si érotisantes, les repoussant vers le haut, mes doigts glissants frôlant à chaque fois l’intimité de ma femme dont je guettais le moindre frisson.
    
    J’écartai un peu ses jambes et m’agenouillai entre elles au niveau des genoux, reprenant mon massage sensuel. Mes pouces écartaient désormais les portes du temple à chaque fois, découvrant sans pudeur sa ravissante étoile plissée et sa vulve brillante, signe que mes attentions suscitaient quelques émois chez Madame. Quant à moi, je bandais, j’avais envie d’elle, de jouir en elle, de lui faire l’amour intensément.
    
    Lorsque je ralentis un peu l’ardeur de mon massage, mon épouse se manifesta.
    
    — Oh non, pas déjà, je n’ai pas encore sommeil, continue, chéri, c’est trop bon de se faire caresser les fesses comme ça.
    
    Peut-on refuser pareille ...
    ... invitation ? Ce serait folie, un moment de pareille complicité se doit d’être prolongé aussi longtemps qu’il est partagé.
    
    Alors je poursuivis en embrassant mon aimée dans le cou, passant ma langue juste derrière son oreille, ce qu’elle adore, et commençai à dessiner sur son dos de savantes courbes, embrassant ici, mordillant là, m’attardant au creux de ses reins que je léchai et embrassai avidement.
    
    Puis ma bouche se posa sur ses fesses, que j’embrassai plus avidement encore, sentant mon amour se cambrer légèrement. Je glissai alors ma langue au sommet du sillon fessier, cette vallée divine séparant les monts de mes fantasmes, et l’y promenai lentement.
    
    — Tu fais quoi, chéri ? Je n’aime pas trop, je préfère que tu me masses.
    — Détends-toi mon amour, abandonne-toi, fais-moi confiance, laisse-moi me repaître de tes courbes les plus secrètes, s’il te plaît, chérie…
    — Mmm… mais je ne veux pas que tu me sodomises, jamais, n’y pense même pas. Mon cul n’est pas à prendre.
    
    Dit ainsi, évidemment, ce n’est pas le stimulant le plus motivant, mais il n’était pas dans mon intention de proposer cette pratique de toute manière jamais évoquée en plus de trente ans de mariage, alors cette mise en garde me fit un peu de peine.
    
    — Rassure-toi, mon amour, ce n’est pas du tout mon intention, mais je veux honorer ton cul, ton superbe cul, ton cul de reine, je veux le lécher, l’embrasser, lui montrer combien il m’excite avant de te faire l’amour !
    — Quelle déclaration romantique… ! Si ton ...
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