1. En trois lettres


    Datte: 12/07/2024, Catégories: fh, hagé, fagée, couple, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral pénétratio, fdanus, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... amour se porte seulement sur mon cul, c’est un peu désolant… On en a toutes un, de cul, alors le mien ou un autre…
    — Oh, Cécile, ne te fais pas plus désagréable que tu ne l’es, tu sais très bien que je t’aime, même si ni toi ni moi n’en parlons jamais. Et oui, il me plaît, ton cul, c’est infamant ? On ne peut pas dire cela à sa propre femme ? On n’a pas le droit d’exprimer son désir ? Des fois, tu m’emmerdes, Cécile, alors, bonne nuit. Tiens, tu peux remettre ta culotte, pour bien le protéger, ton adorable cul.
    — Monsieur est susceptible, mais moi je ne veux pas être seulement un cul, une paire de fesses qui fait bander Monsieur.
    — D’accord, mais moi maintenant j’ai sommeil, alors selon la formule habituelle, on verra ça plus tard. Bonne nuit, ma chérie.
    
    L’endormissement fut difficile, de toute évidence je m’y étais mal pris, puisque quand je pensais amour et désir, sensualité et plaisir partagé, Cécile n’avait décodé que « fantasme de sexe anal », une plus grande incompréhension eût été impossible. Eh merde…
    
    Quelques semaines passèrent, chambre version hôtel du cul tourné, séries TV pour retarder l’heure du coucher, communication réduite au minimum vital, pas folichonne l’ambiance, mais après plus de trois décennies de vie commune on s’habitue à tout. De mémoire, le maire nous avait unis pour le meilleur et pour le pire, honnêtement il fallait quand même admettre que le meilleur restait un souvenir certes agréable, mais un peu lointain.
    
    On dit que le temps ne ...
    ... respecte pas ce qui se fait sans lui, aussi me mis-je en mode abnégation et diplomatie longue durée, pour laisser couler sous les ponts l’eau qui emporte les rancœurs.
    
    Un soir où ma moitié rentra fatiguée d’une journée de bénévolat dans je ne sais plus trop quelle association, sans dire un mot je lui préparai un bain aux herbes et l’accompagnai à la salle de bains. Cécile ne put retenir un sourire enjoué et m’embrassa, avant de se laisser déshabiller par mes soins et se glisser dans le bain. Je gardai une oreille attentive sur les sons aquatiques afin d’anticiper sa sortie de la mousse odorante, et me sentis un peu émoustillé de la voir nue, de dos et de face au moment de l’envelopper dans un doux peignoir qu’elle ne connaissait encore pas.
    
    — C’est nouveau ce peignoir ? Il est doux, j’adore, tu me gâtes Alain(c’est moi), prends-moi dans tes bras, serre-moi contre toi.
    
    Je ne me fis pas prier, me collant contre ma femme afin de lui faire sentir ma virilité dressée pour elle.
    
    — Dis donc grand coquin, tu n’as pas une idée derrière la tête ? Tu veux m’embrocher directement comme à vingt ans ?
    — Je n’y avais pas pensé, mais maintenant que tu en parles…
    
    Cécile ouvrit grand son peignoir et le fit glisser avec une infinie lenteur sur ses épaules, le vêtement forma une flaque colorée à ses pieds sur laquelle ma chérie s’agenouilla. Je bandais si fort que la fermeture éclair de mon short, sous lequel je ne portais rien, pourtant délicatement abaissée par l’amour de ma vie, ...
«1...345...10»