1. Un accident de café


    Datte: 05/07/2024, Catégories: ff, Collègues / Travail groscul, poilu(e)s, fépilée, douche, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... souriante et adorant rire. C’était important et rare dans ce milieu rigide et guindé. C’était une petite boulotte brune pas très grande, pas très jolie, mais très sympa. Elle avait une coiffure un peu étrange comme on pouvait en voir dans les années soixante-dix et des jolis yeux noirs. Elle avait des hanches larges et des cuisses fortes et une poitrine sûrement plus petite que la mienne. Il nous arrivait parfois de prendre un café le matin avant que la foule ne débarque dans les bureaux. Elle et moi aimions bien arriver tôt, c’était le moment au cours duquel on pouvait travailler dans le calme sans être interrompues.
    
    Toute contente, elle arriva avec une tasse de café et claironna presque :
    
    — Regardez, ça tombe bien, j’ai apporté des chouquettes ! Je suis arrivée tôt, j’ai emmené mon mari à Roissy, il est parti trois jours pour son travail à Berlin.
    
    Mon début de commencement de régime du matin était déjà compromis, je n’avais jamais pu résister à une chouquette, et quand je dis une…
    
    Anna était bavarde et drôle, elle avait une façon géniale de raconter les histoires, on s’y croyait. Elle était en train de mimer une conversation de la veille avec un client qui voulait absolument parler à Madame M., c’est à dire moi, mais sans connaître mon nom et il avait fini par dire :
    
    — Vous savez celle qui a une tignasse rousse pas possible.
    
    J’avais éclaté de rire aux mimiques d’Anna et là, la catastrophe est arrivée. En pouffant dans ma tasse à café, j’avais renversé le ...
    ... liquide noir sur ma jupe beige. Pas beaucoup, mais des éclaboussures noires sur un font clair, ça ne peut pas passer inaperçu. Un désastre, le premier client arrivait dans une demi-heure, impossible de retourner chez moi pour me changer.
    
    Il y avait dans certains bureaux, dont le mien, un tout petit cabinet de toilette avec un lavabo. Anna me proposa de mettre de l’eau pour diluer. Je n’étais pas très convaincue de l’efficacité du geste, mais, on point où nous en étions, il fallait essayer. Elle humidifia une serviette et, accroupie devant moi, elle frotta doucement pour ne pas tout étaler. Les taches s’estompèrent un peu, mais ne disparurent évidemment pas. Elle se releva et me dit :
    
    — Je suis désolée, Maud, mais il faudrait que je fasse aussi l’envers et pour ça il faudrait que vous retiriez votre jupe.
    
    Je lui avais demandé de m’appeler Maud, le « Madame » ne me semblait pas appropriée à une relation quasi quotidienne.
    
    J’étais assez d’accord avec la proposition qui me semblait adaptée, mais j’avais du mal à m’imaginer en petite tenue devant ma secrétaire qui faisait la lessive.
    
    Elle sentit mon hésitation, mais nous n’avions pas le temps de tergiverser. Elle courut fermer la porte avec le loquet et mit la lumière extérieure sur le rouge, ce qui permettait, en principe, d’être à l’abri de mauvaises surprises.
    
    — Donnez-moi votre jupe.
    
    Évitant de trop réfléchir, je dégrafai ma jupe dévoilant ce que je cherchais souvent à dissimuler, mes rondeurs de fesses et ...
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