1. Un accident de café


    Datte: 05/07/2024, Catégories: ff, Collègues / Travail groscul, poilu(e)s, fépilée, douche, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Après la disparition d’Alain, je recommençais à vivre après avoir testé un massage relaxant et être envahie de souvenirs.
    
    L’image de la plage disparut lorsque le sommeil prit le dessus. Je ne pus plus lutter et l’image d’Amélie s’estompa dans les brumes d’un milieu de nuit. Je ne crois pas cette nuit-là avoir dormi avec elle.
    
    Le réveil fut difficile, j’étais engourdie. L’idée de me rendre au travail ne me tentait pas. En plus, je sentis mon sexe humide et mon clitoris dressé, ce qui me fit sourire, j’avais comme les garçons une érection matinale. Alain était coutumier de cette situation. Quand on se réveillait, souvent, il se collait contre moi dans mon dos. Je sentis son sexe dur contre mes fesses et il me murmura dans l’oreille :
    
    — Tu sens comme ton gros cul me fait bander ?
    
    Il savait que je n’aimais pas trop ce vocabulaire, mais, je dois l’avouer, ça me troublait énormément.
    
    Je n’avais pas le temps de m’attarder au lit et je ne souhaitais pas non plus retourner vers des souvenirs envahissants. J’avais prévu plusieurs rendez-vous ce matin-là. Il faisait beau et la journée devait être ensoleillée. Le programme du jour ne s’annonçait pas particulièrement attrayant avec deux clients en situation financière délicate, ce qui les rendait agressifs, du moins moyennement agréables. J’étais un peu à la bourre. Je pris dans la corbeille de linge propre, mais pas repassé, un soutien-gorge et un string non assortis, mais personne ...
    ... ne verrait mes dessous, le porte-jarretelles était celui d’hier. Petit moment de panique pour les bas, mais je finis par en trouver une paire neuve. Je me retrouvais donc avec un soutien-gorge noir, un string blanc, un porte-jarretelles mauve et des bas noirs, j’avais l’air d’un perroquet.
    
    Dans ce contexte, j’optai pour une tenue sobre dans le genre BCBG et bourgeoise classique. Dans ce cas, l’option du tailleur restait une valeur sûre. J’en avais deux, je choisis le beige. J’avais dû grossir un peu, la jupe était serrée, du moins, bien ajustée. Sans doute la compensation du deuil par la nourriture, comme disait mon médecin. J’eus du mal à fermer la fermeture Eclair avant de faire tourner la jupe en rentrant un peu le ventre pour qu’elle se positionne correctement derrière. Dans le miroir, c’était jouable, je n’étais pas trop boudinée. Un peu serrée quand même, et je devrais y faire attention. La trace des jarretelles était bien visible, moulée par la jupe. Un chemisier vert complétait la tenue. Même en plein été, j’allais rarement au travail les jambes nues, je trouvais indécent d’exposer mes jambes et mes cuisses nues trop rondes.
    
    Pensant ne pas aggraver les choses, je ne pris qu’un café même si je savais que j’aurais faim et qu’à un moment ou un autre je serais capable de me jeter sur un croissant ou un pain au chocolat.
    
    Étonnement, il n’y avait pas trop de circulation et j’arrivai au bureau en avance. Ma secrétaire était déjà là. Anna, je l’aimais bien, sympa, ...
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