1. Black Fluo


    Datte: 02/07/2024, Catégories: fh, couple, couplus, candaul, Collègues / Travail piscine, fête, amour, Oral pénétratio, fsodo, jeu, confession, totalsexe, libercoup, Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe

    ... l’écran. Elle a refermé les yeux. A-t-elle peur de se voir dans ces moments si intimes ? D’habitude, c’est sur le visage de l’autre que l’on voit le plaisir.
    
    Elle est belle. Son visage est perlé de sueur. Il est vrai que c’est elle qui fait tout le travail. Je ne fais que subir. Oh, subir un si doux traitement ! Je pourrais aussi…
    
    Je me lève de mon siège, le repoussant devant moi. Mes mains agrippent ses hanches. C’est à moi de la baiser. Elle s’appuie un peu plus sur le bureau. Son ventre est maintenant sur le plateau. Sa croupe est une tentation. Son visage est si près que l’image est floue. Je me penche sur elle et de la main repousse le PC afin de retrouver ses traits avec toute la netteté possible.
    
    Je me redresse. Je la baise avec force. C’est mon ventre qui claque sur ses fesses. C’est mon sexe qui déclenche ce délicieux clapotis. Mais ses cheveux cachent un peu son visage. Je les regroupe pour la retrouver. Je me penche sur elle. Avec douceur je tire sur le chignon improvisé afin que son visage soit bien en face. Je l’embrasse dans le cou.
    
    — Que tu es belle ! Regarde comme tu es belle.
    
    Elle se regarde. Nos regards se croisent. Elle sourit. Je continue de la baiser. C’est magnifique, bandant, de suivre sur l’écran un visage qui montre son plaisir, dont les crispations accompagnent ma possession, dont les yeux maintenant ouverts se découvrent comme jamais.
    
    — C’est bon.
    
    Plus qu’une question, c’est une constatation, mais Adèle répond :
    
    — Oh, ...
    ... oui.
    
    Alors je me dis que je pourrais tenter une chose qu’elle n’apprécie pas particulièrement mais qu’elle m’accorde car elle sait que j’aime ça.
    
    — Je voudrais te prendre par ton petit trou. Tu veux bien ?
    
    Pas une seconde d’hésitation. Pas le « Si tu veux », toujours chargé de résignation. Non, un « oui » de ses lèvres et une lueur étonnante dans son regard.
    
    Je l’abandonne. Je m’agenouille derrière elle. Elle écarte encore plus les jambes et c’est comme une invitation coquine. Ma bouche se fait polissonne, ma langue exploratrice, deux doigts, des éclaireurs. Ce chemin est étroit, peu souvent pratiqué et je ne voudrais pas qu’une impétuosité malvenue lui fasse regretter son accord si vite donné.
    
    Elle gémit et c’est bon de l’entendre réagir à ces caresses peu fréquentes.
    
    Je me relève. Je pointe mon gland contre la corolle que j’espère assez apprivoisée. Je vois sur son visage une ombre d’inquiétude. Je pousse. Le muscle résiste mais je sens comme une respiration. Adèle vient à mon secours et mon gland passe la porte.
    
    Je glisse. J’avance lentement, cherchant sur le visage de mon épouse la marque d’une douleur ou d’un regret. Mais je ne vois que des lèvres entrouvertes, des yeux brillants, un regard rivé sur son propre visage, surprise peut être de tant d’expression.
    
    Mon ventre me dit que mon sexe est entré dans une longue glissade que je n’aurais voulu ne jamais finir. Adèle en semble étonnée aussi. Nos regards se croisent.
    
    Je lui susurre :
    
    — ...
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